¤ (PARA)MÉDECINES : ANTI-CANCER : MEILLEURS REMÈDES : (ne remplacent pas les conseils du médecin) : (V/VII)
¤ Court extrait du trio du miracle contre le cancer :
\ Peroxyde d’hydrogène {= H2O2} {= eau oxygénée} + concentré de jus de melon + germanium :
\ La prise de germanium peut éventuellement être renforcé par du reishi, goji, gingembre, shiitaké (toxique cru à forte dose), aloès véra, consoude (toxique à forte dose), ail (toxique à forte dose), cresson, épinard, chlorella, gomphrena, schiZandra (fruit de l’amour), à prendre loin de l’eau oxygénée.
\ L’eau de Lourdes contient du germanium et de l’oxygène.
* Lire l’article du lien http://cancer-soinsalternatifs.over-blog.net/article-27385672.html pour connaître les contre-indications et précautions d’emploi.
¤ Contre certains types de cancers (les remèdes les + efficaces) :
\ Des cancers comme la maladie de Hodgkin et la leucémie sont traités (sans le dire aux patients) avec les feuilles de la pervenche de Madagascar. Le cancer du sein est traité par un extrait d’if (taxol et taxotère), efficace aussi contre le cancer des ovaires.
* http://www.maevie.fr/2015/03/artemisinine-1-herbe-qui-tue-98-des-cellules-cancereuses-en-16h.html (Atemisinine, associée avec du fer, in vitro, tue 98% des cellules cancéreuses du poumon en 16 heures)
** https://www.aloeverasante.net/2015/07/30/cancer-et-chimioth%C3%A9rapie-l-aloe-vera-soulage-de-tous-les-effets-secondaires-de-la-chimioth%C3%A9rapie-et-des-radiations/ et https://www.docteurnature.org/aloe-arborescens-romano-zago/ (L’Aloe vera et l’Aloe arborescens combattent les cancers de la peau lors des radiations nucléaires)
* http://swagactu.com/cancer-du-colon-lhuile-de-noix-de-coco-tue-93-des-cellules-cancereuses.html (l’huile de noix de coco tue 93% des cellules cancéreuses du côlon)
* http://www.astucesnaturelles.net/cette-plante-detruit-86-cancers-poumon-sein/ Une dernière étude canadienne, de l’Université de Toronto, a révélé que le persil tue jusqu’à 86 % des cellules du cancer des poumons. Le persil contient un flavonoïde appelé apigénine. D’autres sources de flavonoïde végétales comprennent le céleri, les oranges, thé à la camomille, l’origan, le thym (toxique à forte dose), la coriandre, les artichauts.
* http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/23860/plante-meconnue-des-effets-miraculeux-contre-cancer (le thé à la racine de pissenlit tue en 48 heures environ 98% des cellules cancéreuses correspondant au cancer du sang)
\ Les feuilles de Pervenche de Madagascar sont anti-cancer. La Camomille romaine est anti-diabète et anti-inflammatoire. L’ortie piquante est un anti-inflammatoire.
\ Le (Desomodium Adscendens) protège remarquablement votre foie contre les agressions de la chimiothérapie ? [1] Voir le livre du Dr Eric Ménat, Cancer, un accompagnement qui change tout, Source vive, 2015.
\ Un champignon japonais, le shiitake, est redoutablement efficace pour guérir les femmes contaminées par le papillomavirus – celui qui provoque le cancer du col de l’utérus. Le shiitaké cru à forte dose est toxique.
* http://lachainedevv.com/effets-anticancereux-du-chlorure-de-magnesium-etude-scientifique-in-vitro-cancer-du-sein/ [ Le Cis- diamminedichloroplatine (le Cisplatine), et le chnlorure de magnésium combattent le cancer du sein. ]
* http://www.nutranews.org/sujet.pl?id=1296 (Vitamine D3 : des scientifiques appellent à élever à 10 000 UI sa limite supérieure de sécurité) Le carbonate de calcium associé avec de la vitamine D réduisent de 77% le risque de cancer du colon et du sein)
¤ Limiter les effets secondaires des chimiothérapies, car elles sont rarement utiles :
* http://www.bon-coin-sante.com/blog-sante-sans-prise-de-tete/actualites-sante/un-traitement-pour-guerir-du-cancer-naturellement/
Atténuer les effets d’une chimio ou autre traitement chimique
Si vous êtes en traitement de chimiothérapie, voici quelques conseils qui vont limiter les effets secondaires.
Jeûne pendant les séances de chimio
Afin de limiter au maximum les effets secondaires de la chimio, je vous conseil de jeûner la vieille, le jour de votre chimio et le lendemain, un jeûne à l’eau et aux tisanes. Si c’est trop dur ou que votre état ne le permet pas vous pouvez prendre un bouillon et/ou un jus de fruits et légume, mais pas de repas solide. Pour faire au plus simple, le fait de jeûner va mettre vos cellules (saines) en état de protection contre ses agressions chimiques. Voir notre article sur les jeûnes courts
Drainage homéopathique (foie et autres organes)
Les traitements chimiques, chimio ou autres, vont encrasser votre organisme, il faut drainer et détoxiner au fur et à mesure, voici quelques pistes en homéopathie.
• Thuya 7 CH (1 tube) : 5 granules 3 fois par jour (Favorise l’élimination des toxines)
• Opium 9 CH (1 tube): 5 granules 3 fois par jour (Reprise du transit digestif)
• Chelidonium majus 5 CH (1 tube): 5 granules 3 fois par jour (Pour nettoyer le foie)
Vous pouvez également opter pour notre pack drainage Vortex + contenant ces 3 produits homéopathiques spécialement programmés pour votre maladie ou type de cancer. Voir le produit en boutique
Nota : Les granules sont à faire fondre sous la langue, ne pas avaler d’un coup.
Lavements intestinaux
Les lavements réguliers dans le cas d’un cancer ou autre maladie sont un atout majeur, c’est le cas depuis un siècle avec la thérapie anti-cancer Gerson qui n’a plus rien à prouver. Nous recommandons des lavements hebdomadaires au chlorure de magnésium et camomille. Cela va également limiter certains effets secondaires des traitements, comme la constipation par exemple. Voir le mode d’emploi sur notre article
En savoir plus sur http://www.bon-coin-sante.com/blog-sante-sans-prise-de-tete/actualites-sante/un-traitement-pour-guerir-du-cancer-naturellement/#YATz9jWITyuClrPv.99
¤ Contre tous les types de cancers (les remèdes les + efficaces) :
BIS \ Le Gc MAF
BIS \ Les acides gras oméga-3 d’origine bactérienne ou végétale (graines de lin[l'huile de lin rancit est toxique], graines de chia, graines de chanvre, noix commune), la curcumine du curcuma (12 grammes ou 20 gélules de curcumine) est 185 fois mieux assimilée dans le « NovaSol® Curcumin » (curcumine « encapsulée » dans des acides gras). Parmi les agents anti-cancer, il existe le corossol (= graviola), l’eau de Quinton (à boire, et par piqûre sous-cutanée dans le tissus cancéreux) ], le raisin (avec les pépins et la peau et la pulpe), et la graine de Nigelle sativa, une protéine issue du parasite du paludisme (ou malaria). Parmi les agents anti-cancer, il existeles cannabinoïdes [ de l'huile de cannabis de Rick Simson (si possible à dominance Indica) guérissant 70% des cancers ]
BIS \ Dr Laurent Schwartz (effet Warburg) : Amiloride (10mg à 40mg à raison de 3 fois par jour), Metformine (à forte dose) (jusqu’à 3g par jour) (qui est par ailleurs le traitement de base contre le diabète de type 2), acide lipoïque (600mg en injection intraveineuse lente) (on trouve de l’acide lipoïque dans les épinards et les brocolis), hydroxicitrate (500mg en comprimés, matin, midi, et soir). J’ai supprimé deux produits inhibiteurs d’acides (dont l’histoire des protons) car Thierry Casasnovas dit que tout inhibiteur d’acide aggrave le cancer.
BIS \ « Pour réaliser une extraction à l’huile d’olive, il suffira de faire chauffer au bain marie (< 100ºC) environ 10g de fleurs de cannabis dans 100 ml d’huile d’olive, pendant 90 minutes. Vous retirez ensuite le mélange du bain-marie, et vous le faites chauffer à feu doux à environ 110ºC (vérifiez avec un thermomètre) pendant 30 minutes, pour procéder à la décarboxylation des cannabinoïdes. Laissez ensuite refroidir, puis filtrez. » (…) Même ce type de cannabis n’est pas compatible avec la conduite routière).
\ Le Viscum Album injectable, les compléments alimentaires d’alkylglycérols, le Ginkgo biloba.
* https://www.youtube.com/watch?v=CR0AhbR3qvA7ème jour
juste un commencement 2 : « une congestion nommée cancer » – www.regenere.org [Les légumes-racines sont davantage faciles à digérer s'ils sont consommés cuits ou sous forme de jus (sans la pulpe) ; ce qui est un argument de taille lorsque les organes sont affaiblit et qu'il faut combattre le cancer] ; hélas, la cuisson et le jus n’ont pas de vitamine B12.
\ Il faut dormir suffisamment et être serein.
* https://www.youtube.com/watch?v=qhAVZFm0rrM (Le cancer , un épouvantail – www.regenere.org)L’HUILE DE RICIN et l’EAU DE QUINTON, à boire, et par piqûre sous-cutanée dans le tissus cancéreux. Mais le reste du ricin est mortel. Par ailleurs, un excès d’huile de ricin NON modifiée est toxique.
*http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2003031701 L’ (huile de) ricin (modifiée) contre le cancer?
17 mars 2003 – On savait déjà qu’on peut tirer du ricin un poison dangereux ou encore une huile qui soulage efficacement la constipation. Les propriétés médicinales de la plante sont maintenant exploitées dans la lutte contre le cancer.
Des chercheurs américains du centre médical de la University of Texas Southwestern croient qu’en jumelant un extrait de ricin à une protéine qui se lie aux lymphomes, ils pourront développer une substance presque inoffensive pour les humains, mais mortelle pour les cellules cancéreuses.
Les premiers essais cliniques ont rencontré des problèmes importants lorsque le nouveau remède a endommagé des vaisseaux sanguins pulmonaires. Toutefois, une version génétiquement modifiée1 testée sur des souris s’est ensuite révélée beaucoup moins dangereuse, mais tout aussi efficace contre le cancer.
Les résultats de cette étude sont publiés dans le journal Nature Biotechnology.
Jean-Benoit Legault – PasseportSanté.net
D’après BBC, 11 mars 2003.
1. Smallshaw JE, Ghetie V, Rizo J, Fulmer JR, Trahan LL, Ghetie MA, Vitetta ES. Genetic engineering of an immunotoxin to eliminate pulmonary vascular leak in mice.Nat Biotechnol 2003 Mar 10; [epub ahead of print]. [Consulté le 17 mars 2003].
*** Les jus de fruits décongestionnent le corps, mais les jus de légumes re-minéralisent le corps, selonhttps://www.youtube.com/watch?v=YnrOJiLz0yU(Tumeurs et tumeurs, le corps dans sa simplicité 6 – www.regenere.org )Pour combattre le cancer, il ne faut pas négliger les épices doux, les micro-algues (= cyanobactéries), les herbes aromatiques (un excès de thym est toxique), les champignons les mieux exotiques, la VITAMINE B17 (= laetrile) (notamment dans le NOYAU D’ABRICOT ET NOYAY D’AVOCAT ET AMANDE AMÈRE) [ elle doit être prise avec modération (car elle est toxique ou mortelle à forte dose) (la vitamine B12 hydroxocobalamine est un contre-poison d’un excès de cyanure) ] ainsi que les baies [ en particulier d’une part les FRAMBOISES (surtout NOIRES) et d’autre part le RAISIN (surtout les pépins de raisin et le raisin rouge) ] [ car les baies sont riches en VITAMINE C (de type »ACIDE ASCORBIQUE ») ]. Pour combattre le cancer, il ne faut pas négliger le chou de Bruxelles, la racine de betterave (riche en nitrates) [ sachant que la racine de chicorée est un compromis entre les nitrites et l'anti-cancer], le chou pommé, le brocolis, le chou-fleur, les épinards, et le chou frisé. Pour obtenir les effets anti-cancer, il est conseillé de les consommer crus, idéalement sous forme de jus (sans la pulpe) [mais la vitamine B12 n'est hélas pas présente dans les jus]. Pour combattre le cancer, il faut avoir autant d’oméga-3 que d’oméga-6. Pour combattre le cancer, il faut de la VITAMINE D (on la produit si on s’expose modérément au SOLEIL, et que le corps fabrique du cholestérol grâce au végétaux gras que l’on consomme)
\ Le chou-rouge, l’asperge, et la tête de violon, sont moins intéressants que la liste précédente, mais ce sont divers anti-cancer davantage intéressants que la moyenne.
* https://www.soignez-vous.com/maladies/cancer-le-dr-bernard-murzeau-ressuscite-la-geniale-machine-priore (l’existence et l’efficacité de la machine Priore anti-cancer, reprise par le Dr Bernard Murzeau, elle reste à prouver)
* En cas d’excès au cyanure (par exemple le noyau d’abricot), il existe diverses contre-poison, notamment la vitamine B12 hydroxocobalamine. Voir https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21856998
Traitement par hydroxocobalamine de l'intoxication aiguë par le cyanure à partir de grains d'abricots.
Cigolini D1, Ricci G, Zannoni M, Codogni R, De Luca M, Perfetti P, Rocca G.
Informations sur l'auteur
Abstrait
L’expérience clinique avec l’hydroxocobalamine dans l’intoxication aiguë au cyanure par ingestion reste limitée. Cette affaire concerne une femme âgée de 35 ans qui a consommé plus de 20 noyaux d’abricots. La littérature publiée suggère que chaque noyau aurait contenu des concentrations de cyanure allant de 0,122 à 4,09 mg / g (moyenne de 2,92 mg / g). À leur arrivée, la femme est apparue asymptomatique avec un taux de pouls élevé et une légère acidose métabolique. Quarante minutes après l’admission (environ 70 minutes de postage), le patient a éprouvé des maux de tête, des nausées et de la dyspnée et était hypotenseur, hypoxique et tachypnoïque. Après le traitement avec du nitrite d’amyle et du thiosulfate de sodium, son taux de méthémoglobine était de 10%. Cela a provoqué l’administration d’oxygène, ce qui a provoqué une légère amélioration de ses signes vitaux. On a ensuite administré de l’hydroxocobalamine. Après 24 h, elle était complètement asymptomatique avec une pression artérielle normalisée et d’autres paramètres hémodynamiques. Ce cas renforce la sécurité et l’efficacité de l’hydroxocobalamine dans l’intoxication aiguë par le cyanure par ingestion.
° Les mûres et les framboises (surtout les framboises noires) sont anti-cancer :
1. Cerda B, Tomas-Barberan FA, Espin JC. Metabolism of antioxidant and chemopreventive ellagitannins from strawberries, raspberries, walnuts, and oak-aged wine in humans: identification of biomarkers and individual variability. J Agric Food Chem. 2005;53:227-235.
2. Heinonen IM, Meyer AS, Frankel AN. Antioxidant activity of berry phenolics on human low-density lipoprotein and liposome oxidation. J Agric Food Chem. 1998;46:4107-4112.
3. Liu M, Li XQ, et al. Antioxidant and antiproliferative activities of raspberries. J Agric Food Chem. 2002;50:2926-2930.
4. Han C, Ding H, et al. Inhibition of the growth of premalignant and malignant human oral cell lines by extracts and components of black raspberries. Nutr Cancer. 2005;51:207-217.
5. Olsson ME, Gustavsson KE, et al. Inhibition of cancer cell proliferation in vitro by fruit and berry extracts and correlations with antioxidant levels. J Agric Food Chem. 2004;52:7264-7271.
6. Feng R, Bowman LL, et al. Blackberry extracts inhibit activating protein 1 activation and cell transformation by perturbing the mitogenic signaling pathway. Nutr Cancer. 2004;50:80-89.
7. Liu Z, Schwimer J, et al. Black raspberry extract and fractions contain angiogenesis inhibitors. J Agric Food Chem. 2005;53:3909-3915.
8. Marlett JA, McBurney MI, Slavin JL. Position of the American Dietetic Association: health implications of dietary fiber. J Am Diet Assoc. 2002;102:993-1000.
9. Stollman NH, Raskin JB. Diagnosis and management of diverticular disease of the colon in adults. Ad Hoc Practice Parameters Committee of the American College of Gastroenterology. Am J Gastroenterol 1999 November;94(11):3110-21.
10. Eglash A, Lane CH, Schneider DM. Clinical inquiries. What is the most beneficial diet for patients with diverticulosis?J Fam Pract 2006 September;55(9):813-5. Reference List
11. Basu A, Rhone M, Lyons TJ. Berries: emerging impact on cardiovascular health. Nutr Rev. 2010 Mar;68(3):168-77.
12. Yu YM, Chang WC, et al.. Reduction of oxidative stress and apoptosis in hyperlipidemic rabbits by ellagic acid. J Nutr Biochem. 2005 Nov;16(11):675-81.
14. McDougall GJ, Ross HA, et al. Berry extracts exert different antiproliferative effects against cervical and colon cancer cells grown in vitro. J Agric Food Chem. 2008 May 14;56(9):3016-23.
15. Ross HA, McDougall GJ, Stewart D. Antiproliferative activity is predominantly associated with ellagitannins in raspberry extracts. Phytochemistry. 2007 Jan;68(2):218-28.
16. Seeram NP, Adams LS, et al. Blackberry, black raspberry, blueberry, cranberry, red raspberry, and strawberry extracts inhibit growth and stimulate apoptosis of human cancer cells in vitro. J Agric Food Chem 2006;54:9329-39.
17. Elisia I, Kitts DD. Anthocyanins inhibit peroxyl radical-induced apoptosis in Caco-2 cells. Mol Cell Biochem. 2008 May;312(1-2):139-45.
18. Dai J, Patel JD, Mumper RJ. Characterization of blackberry extract and its antiproliferative and anti-inflammatory properties. J Med Food 2007;10:258-65.
19. Stoner GD, Wang LS, et al. Multiple berry types prevent N-nitrosomethylbenzylamine-induced esophageal cancer in rats. Pharm Res. 2010 Jun;27(6):1138-45.
20. Bakkalbasi E, Mentes O, Artik N. Food ellagitannins-occurrence, effects of processing and storage. Crit Rev Food Sci Nutr. 2009 Mar;49(3):283-98.
21. Zafra-Stone S, Yasmin T, et al. Berry anthocyanins as novel antioxidants in human health and disease prevention. Mol Nutr Food Res. 2007 Jun;51(6):675-83.
22. Beekwilder J, Hall RD, de Vos CH. Identification and dietary relevance of antioxidants from raspberry. Biofactors 2005;23:197-205.
23. Borges G, Degeneve A, et al. Identification of Flavonoid and Phenolic Antioxidants in Black Currants, Blueberries, Raspberries, Red Currants, and Cranberries. J Agric Food Chem 2010;58:3901-9.
24. Rao AV, Snyder DM. Raspberries and Human Health: A Review. J Agric Food Chem 2010;58:3871-83.
25. Buzzini P, Arapitsas P, et al. Antimicrobial and antiviral activity of hydrolysable tannins. Mini Rev Med Chem. 2008 Oct;8(12):1179-87.
26. Ow YY, Stupans I. Gallic acid and gallic acid derivatives: effects on drug metabolizing enzymes. Curr Drug Metab. 2003 Jun;4(3):241-8.
27. Mejia-Meza EI, Yanez JA, et al. Effect of Dehydration on Raspberries: Polyphenol and Anthocyanin Retention, Antioxidant Capacity, and Antiadipogenic Activity. J Food Sci. 2010 Jan-Feb;75(1):H5-12.
28. Concèze – Fête de la framboise. Framboises en Corrèze. [Consulté le 15 juin 2010]. www.framboises.com
ISPN (Institut National pour la Protection Naturelle) conseille la Vitamine C contre le cancer :
- Cancer du sein : 75% de survivants en plus,
- Cancer du poumon : 887% de survivants en plus (8 fois mieux que des thérapies conventionnelles !),
- Cancer colorectal : plus de 107% de survivants en plus.
Incroyable : le remède naturel qui a sauvé Allan Smith !
Chère amie, cher ami,
Connaissez-vous l’histoire d’Allan Smith ?
Il est présent à notre congrès. J’ai tenu personnellement à ce qu’il y soit. Sa présence est déterminante. Vous allez comprendre pourquoi.
Alan Smith est le premier patient à avoir été soigné et guéri à l’hôpital, grâce à un traitement à haute dose de vitamine C.
Pourtant ses médecins s’opposaient à ce qu’il essaye ce traitement !
Alan Smith est un fermier néo-zélandais. Il était atteint de grippe porcine, d’une pneumonie avancée, d’une leucémie et d’un scorbut.
Il saignait du nez, de la bouche et des intestins. Il était dans le coma. Ces médecins l’avaient déjà condamné !
Au départ, ils ont refusé que soit administrée de la vitamine C à haute dose à Allan Smith.
Mais la famille a insisté. Ils ont même été jusqu’à menacer l’hôpital avec leurs avocats. Les médecins ont cédé.
Le traitement a été administré. Quelques jours plus tard, Allan Smith était tiré d’affaire !
C’est une histoire invraisemblable.
Elle montre la force que peuvent avoir les patients.
Allan Smith et sa famille ont montré à la face du monde qu’il était possible de se soigner à l’hôpital avec des hautes doses de vitamine C.
Grâce à lui, les patients en Nouvelle-Zélande peuvent demander à recevoir un traitement complémentaire à base de vitamine C à haute dose à l’hôpital.
C’est cela qu’il faut chercher à obtenir en France et en Europe !
La résistance aux antibiotiques
Il est d’autant plus urgent que ce traitement soit réintégré dans les procédures médicales en Europe, que la vitamine C à haute dose est efficace contre les infections.
Or, les antibiotiques, eux ne le sont plus.
D’après une vidéo récente de l’INSERM, 700 000 personnesmeurent tous les ans dans le monde, à cause de la résistance aux antibiotiques (1).
Ce chiffre pourrait atteindre 10 millions de morts par an dans 30 ans, si rien est fait.
Rien qu’en France, un rapport du Ministère de la Santé (2) précise que :
« …chaque année, plus de 150 000 patients développent une infection liée à une bactérie multirésistante, et plus de 12 500 personnes en meurent ».
Au Royaume-Uni, l’ancien premier ministre, David Cameron avait commandé un rapport auprès de Jim O’Neil, économiste, sur la question de l’antibiorésistance (3). La conclusion est sans appel :
« L’antibiorésistance est la plus grande menace sanitaire mondiale »
Aux Etats-Unis, selon une étude de 2011, (4) 47% de la viande est infectée au staphylocoque doré. Les infections au staphylocoque doré sont passées de 2000 en 1993 à 370 000 en 2005. Et la progression continue.
En 2017, toujours aux Etats-Unis, le staphylocoque doré, tue plus que le sida. (1)
La réponse du Dr Thomas E Levy
L’évolution rapide de la résistance aux antibiotiques est due à la surconsommation d’antibiotiques par les humains et par les animaux d’élevage.
Les bactéries, organismes vivants, communiquent entre elles. Plus il y a d’antibiotiques dans la nature, plus les bactéries apprennent à les contrer. Elles « se passent le mot » et elles mutent.
Mais les antibiotiques ne sont pas la seule réponse aux maladies infectieuses (maladies provoquées par la transmission d’un micro-organisme : virus, bactérie, parasite, champignon).
Dans un livre exceptionnel, malheureusement non traduit en français, intitulé « Curing the Incurable, Vitamin C, Infectious Diseases, and Toxins », le Dr Thomas E Levy, le plus grand spécialiste de la vitamine C, actuellement en exercice, a réuni toutes les connaissances scientifiques dont nous disposons sur la Vitamine C et les maladies infectieuses.
Il en ressort que la vitamine C à haute dose peut être utile, voire déterminante (retour à la santé) contre les bactéries suivantes (entre autres) :
>> La diphtérie
>> La coqueluche
>> Le tétanos
>> La tuberculose
>> Le streptocoque
>> La lèpre
>> La fièvre typhoïde
>> La malaria
>> La brucellose
Le livre s’intéresse également aux infections virales pour lesquelles la vitamine C peut également être utile :
>> la rougeole,
>> les hépatites virales,
>> la pneumonie,
>> le rhume,
>> la grippe,
>> la varicelle,
>> l’herpès
>> et même le VIH !
Ce livre passe en revue 1200 études scientifiques. C’est une véritable bible contre les infections.
Personne ne sait parler de ce sujet aussi bien que son auteur.
C’est la raison pour laquelle, nous avons tenu à ce que le Dr Thomas E Levy soit présent lors de notre 3e Congrès International de Santé Naturelle, le 30 septembre et 1er octobre 2017 à Paris.
Il participe à la “Soirée exceptionnelle Vitamine C à haute dose” du samedi 30 septembre 2017.
Il donne également une conférence d’expert, le 1er octobre 2017 au cours de laquelle vous pourrez lui poser toutes vos questions.
Ceux qui participent au congrès ont la chance unique de pouvoir le rencontrer bientôt, de l’écouter et d’échanger avec lui.
C’est un homme extraordinaire.
Consensus international
Il y a un consensus international sur la question des dangers de la résistance aux antibiotiques.
Tom Frieden est le Directeur du Center for Disease Control (CDC), l’une des agences de santé les plus puissantes au monde, basée à Atlanta (E-U).
Il a déclaré, devant des médecins, qu’il existait des « super bactéries » qui résistent aux antibiotiques. Il a ajouté : « en vérité nous devons faire face à une situation inquiétante »car les bactéries évoluent mais pas les médicaments. (5)
Selon lui, l’évolution des bactéries ramènerait l’humanité à l’ère d’avant l’existence des antibiotiques où l’on mourrait d’une pneumonie ou d’une infection urinaire.
Lors de l’Assemblée Générale de l’ONU en 2016 (6), le sujet a été mis sur la table. Le Président de séance, Peter Thomson a déclaré :
« La résistance aux antimicrobiens menace la réussite des Objectifs de développement durables et nécessite une réaction mondiale. »
De son côté, la Directrice Générale de l’OMS, le Dr Margaret Chan, a commenté la situation ainsi :
« La résistance aux antimicrobiens représente une grave menace pour la santé humaine, le développement et la sécurité. Les engagements pris aujourd’hui doivent être concrétisés en actions rapides, efficaces et capables de sauver des vies dans les secteurs de la santé humaine, animale et environnementale. Le temps presse. »
Quelles pistes proposent nos gouvernants ?
Les constats des autorités de santé se suivent et se ressemblent : ils sont tous alarmants !
Et que proposent nos « têtes pensantes » de la santé ?
Tom Frieden (CDC) espère qu’en réorganisant les hôpitaux, le risque bactérien sera limité. Pour le reste, il en appelle à la créativité des scientifiques…
Les autorités de santé françaises elles, dans un rapport officiel (2), proposent quatre « axes » d’action : approfondir la recherche, améliorer le suivi, améliorer les antibiotiques et mieux sensibiliser les populations à leur usage…
Bref, des mesures « cosmétiques ».
De leur côté, les chefs d’Etat lors de la réunion à l’ONU se sont engagés à :
« Adopter une approche générale et concertée afin de s’attaquer aux causes fondamentales de la résistance aux antimicrobiens dans plusieurs domaines, et en particulier la santé humaine, la santé animale et l’agriculture. »
Ils se sont par ailleurs donnés rendez-vous en 2018 pour l’assemblée générale ; le sujet est, d’ores et déjà, à l’ordre du jour.
Qu’y feront-ils ? Se concerter ? S’applaudir ? Boire du champagne ?
La vitamine C à l’honneur lors du 3e CISN !
En attendant, j’ai beaucoup mieux à vous proposer.
Car la vérité est qu’il y a de l’espoir ! Il y a des solutions !
Nous pouvons créer une « Révolution Vitamine C ».
L’IPSN s’engage de toute ses forces pour faire reconnaître cette stratégie alternative déterminante dans la lutte contre les bactéries résistantes et les infections.
A noter par ailleurs, que ce traitement est également utile dans l’accompagnement des maladies suivantes :
>> de nombreux cancers, grâce à la réaction de Fenton,
>> le traitement des radiations,
>> les maladies cardio-vasculaires.
Le 3e Congrès International de Santé Naturelle (30 septembre et 1er octobre 2017 à Paris) est l’occasion d’aborder ces trois sujets.
Nous avons réuni pour une “Soirée exceptionnelle”, les trois plus grands spécialistes internationaux de la vitamine C :
>> Le Dr Thomas Levy (MD) (Etats-Unis), cardiologue et membre de la société Américaine de Cardiologie. Auteur de 7 livres de référence sur le sujet, il est un le spécialiste mondial de la vitamine C.
>> Le Dr Ron Hunninghake (Etats-Unis), est le directeur de la clinique Riordan (Etats-Unis). Il a établi un protocole de traitement du cancer par la vitamine C, reconnu dans le monde entier. Il fait partie des médecins de référence dans la médecine orthomoléculaire.
>> Le Dr Atsuo Yanagisawa (Japon), cardiologue. Il a publié 141 articles scientifiques dans différentes revues prestigieuses. Médecin hospitalier à Tokyo, il a également été le directeur d’un centre de médecine intégrative dans la même ville. Il est Président de la société International pour la Médecine Orthomoléculaire.
Au Japon, le Dr Atsuo Yanagisawa est considéré comme un héros. C’est un expert reconnu par les autorités et très respecté de tout le peuple nippon. Ses travaux sur les traitements de la vitamine C contre les radiations ont été mis en pratique lors de la catastrophe de Fukoshima. Il est perçu comme un bienfaiteur national !
Cette soirée est modérée par Michel Dumestre, naturopathe et éditeur. Il a traduit l’un des livres du Dr Thomas E. Levy (La panacée universelle, 2016, éditions Michel Dumestre).
Par ailleurs, sera présent également Alan Smith, héros Néo-Zélandais. Grâce à lui les citoyens de son pays peuvent se soigner avec des traitements à haute dose de vitamine C. Je vous raconte son histoire ahurissante un peu plus bas.
Une série de conférence d’experts !
A l’occasion de notre 3e Congrès Internationale de Santé Naturelle, nous avons proposé à ces spécialistes de donner une série de « conférences d’experts » sur les traitements à haute dose pour la vitamine C.
Ces conférences ont lieu le dimanche, 1er octobre 2017, toute la journée. Elles s’adressent plutôt aux médecins et aux thérapeutes.
Cette journée fera date dans l’histoire de la pratique de la vitamine C en France et en Europe.
Il suffirait de convaincre, un, deux, voire une dizaine de médecins ou de professionnels de santé pour déjà espérer sauver ou améliorer des centaines de vie !
L’histoire d’Alan Smith
Est aussi présent à notre congrès, Alan Smith, le premier patient à avoir été soigné et guéri à l’hôpital, grâce à un traitement à haute dose de vitamine C.
Pourtant ses médecins s’opposaient à ce qu’il essaye ce traitement !
Alan Smith est un fermier néo-zélandais. Il était atteint de grippe porcine, d’une pneumonie avancée, d’une leucémie et d’un scorbut.
Il saignait du nez, de la bouche et des intestins. Il était dans le coma. Ces médecins l’avaient déjà condamné !
Au départ, ils ont refusé que soit administrée de la vitamine C à haute dose à Allan Smith.
Mais la famille a insisté. Ils ont même été jusqu’à menacer l’hôpital avec leurs avocats. Les médecins ont cédé.
Le traitement a été administré. Quelques jours plus tard, Allan Smith était tiré d’affaire !
C’est une histoire invraisemblable.
Elle montre la force que peuvent avoir les patients.
Allan Smith et sa famille ont montré à la face du monde qu’il était possible de se soigner à l’hôpital avec des hautes doses de vitamine C.
Grâce à lui, les patients en Nouvelle-Zélande peuvent demander à recevoir un traitement complémentaire à base de vitamine C à haute dose à l’hôpital.
C’est cela qu’il faut chercher à obtenir en France et en Europe !
Pour obtenir des résultats probants, les médecins compétents préconisent l’usage de doses allant de 10 à 100 grammes de vitamine C « pure » par jour !
C’est jusqu’à 300 fois la dose contenue dans un comprimé classique de vitamine C d’un gramme !
A ce stade, il n’est pas possible d’avaler des cachets. Le traitement se fait par perfusion. La vitamine C entre par les veines et inonde directement le sang.
C’est un traitement quasi médicamenteux qui nécessite un suivi professionnel. Il ne peut être administré que par des infirmiers ou des médecins dûment formés.
Toutefois, la molécule proposée existe dans la nature. Le corps l’utilise donc mieux qu’une molécule de synthèse. Par ailleurs, elle n’est pas nocive même si elle peut créer quelques désagréments (diarrhées par exemple).
La vitamine la plus étudiée au monde
On entend dire parfois au sujet de la vitamine C : « où sont les études ? Où est la science ? ».
Cette critique est inopérante aujourd’hui.
Sur le site Internet Pubmed (7), plus de 58 000 études sont recensées sur la vitamine C, ce qui en fait l’un des nutriments les plus étudiés au monde !
On retrouve par ailleurs 1600 études décrivant les résultats des traitements à haute dose de vitamine C.
Parmi les études sur la vitamine C, 900 ont été effectuées selon les critères habituels de la recherche actuelle, c’est-à-dire randomisée en double aveugle contre placébo.
On est loin d’une « terra incognita » !
Les effets bénéfiques des traitements de la vitamine C sont donc parfaitement connus des scientifiques qui ont étudié la question !
La vitamine C contre les infections !
Dans l’histoire d’Alan Smith, deux perfusions de 25 grammes de vitamine C au patient ont réduit de manière importante l’infection dans les poumons (confirmé aux rayons X par les médecins).
Il a reçu ensuite des perfusions de 100 grammes par jour et son état s’est nettement amélioré. (8)
Un autre patient, aux Etats-Unis cette fois, est sorti d’une situation critique grâce à un traitement à haute dose de vitamine C.
Mordu violemment par son chat, Franck Salaman développe une infection de la main. A l’hôpital, les médecins lui administrent les traitements habituels : vaccin contre le tétanos et antibiotiques. Cinq semaines plus tard, l’infection est toujours là. On propose à Franck l’amputation ! (9)
Il demande un traitement à haute dose de vitamine C. On lui refuse.
Il se fait soigner en clinique privée où les médecins lui administrent tous les jours 60 à 75 grammes de vitamine C par perfusion et 30 grammes par voie orale ! Sa main est bandée chaque nuit à un cataplasme d’ail et d’argile rouge. L’infection cesse au bout de 9 jours.
Il va à son rendez-vous à la date prévue pour l’amputation, où il sert la main de son médecin éberlué ! (10)
Les maladies infectieuses les mieux documentées
Outre ces cas exceptionnels, de nombreuses études viennent étayer l’hypothèse de l’efficacité de la vitamine C à haute dose dans des cas d’infections bactériennes ou virales graves.
Les chercheurs ont notamment montré l’efficacité de traitements utilisant la vitamine C à haute dose pour les maux suivants :
>> la septicémie (infection du sang) (11, 12, 13)
>> le Sida (14)
>> les infections pulmonaires (15)
>> diverses infections bactériennes, virales ou de parasites (16)
>> l’herpès (17)
>> le staphylocoque (18, 19)
Notez que dans la plupart de ces études le traitement à base de vitamine C à haute dose n’est pas le seul prodigué.
En effet, la vitamine C est associée à d’autres traitements, parfois d’autres antioxydants, ou bien des produits naturels (huiles essentielles) ou encore à des antibiotiques.
Ce n’est pas un traitement exclusif. Plus que complémentaire (qui sous-entend que le traitement vient juste en plus), je qualifierai les perfusions de vitamine C de co-traitement.
Il participe au même titre que d’autres traitements à la rémission du malade ou au renforcement de son terrain.
*Certains aliments facilitent hélas la progression de certaines métastases cancéreuses (tout au moins chez les rats), notamment : l’aubergine, le chou chinois, la racine de carotte (bien qu’elle ait un effet puissant contre maints cancers qui ne sont pas des métastases), la tomate (bien qu’elle ait un effet contre le cancer de la prostate), l’endive, le fenouil, le piment jalapeño, le radis, le concombre, le poivron orange, un excès d’OMÉGA-6 (bien que les oméga-6 sont nécessaires avec modération). Mais ils sont moins cancérigènes que les produits animaux. Mais s’ils sont consommés [à fortiori sous forme de jus crus (sans la pulpe), ils (ou tout au moins certains) peuvent paradoxalement devenir anti-cancer. Aussi, le jus de carotte (sans la pulpe) est anti-cancerhttps://www.youtube.com/watch?v=uxe98JqrJAw [ Anti Cancer - Vit C , Laetrile , Thé vert , Curcuma , ... ( One Way 2012 12 25 ) ] Mais ces même aliments combattent d’autres métastases cancéreuses. Donc au final, si on consomme pour éviter les carences, ce n’est pas grave, mais ce n’est pas le meilleur moyen pour combattre le cancer.
\ Le stress n’est pas cancérigène, mais c’est le sentiment d’impuissance (engendré par le stress) qui est cancérigène.
\ Pour lutter contre le cancer, le corps fabrique des levures qui se nourrissent de sucres. Cependant, les LEVURES et microbes et champignons sont la conséquence, mais pas la cause du cancer ; les levures et microbes et champignons consomment beaucoup de sucres ; ces levures et microbes et champignons servent à décongestionner le corps. Le sucre des fruits n’est pas cancérigène ; il est même excellent pour la santé. Les seuls sucres cancérigènes sont la plupart des sucres raffinés.
\ Sauf cas particulier, les bulbes et les Allium et les épices forts ne sont pas la panacée, car ils sont toxiques à forte dose, et ils nuisent à l’activité cérébrale, bien qu’ils sont bénéfiques à faible dose contre le cancer et contre les maladies cardio-vasculaires. À moins de boire quatre verres d’eau SUPPLÉMENTAIRES (à la quantité d’eau quotidienne conseillée ou judicieuse) par verre de café, hélas le café n’est pas la panacée, car il a beaucoup de caféine (= théine), bien qu’il combatte certains cancers. Le thé (NON kukicha) ca deux ou trois fois moins de théine, mais ce n’est hélas pas négligeable. Le THÉ VERT KUKICHA est un exemple d’anti-cancer vraiment intéressant.
- http://www.thierrysouccar.com/blog
/mega-doses-de-vitamine-c-cancer-et-sante-la-fin-de-lhistoire cancer-rhume-cataracte
* https://www.santenatureinnovation.com/cancer-le-remede-oublie/ [ La bactérie streptocoque, responsable de la maladie érysipèle (fièvre et infection de la peau), peut guérir certains cancers. Le remède « toxines de Coley » comporte ces bactéries à l’état mort, donc les effets secondaires sont moindres ].
* https://jforum.fr/dr-laurent-schwartz-cancer-un-traitement-simple-et-non-toxique.html Dr Laurent Schwartz (effet Warburg) : Amiloride (10mg à 40mg à raison de 3 fois par jour), Metformine (à forte dose) (jusqu’à 3g par jour) (qui est par ailleurs le traitement de base contre le diabète de type 2), acide lipoïque (600mg en injection intraveineuse lente) (on trouve de l’acide lipoïque dans les épinards et les brocolis), hydroxicitrate (500mg en comprimés, matin, midi, et soir) J’ai supprimé deux produits inhibiteurs d’acides (dont l’histoire des protons) car Thierry Casasnovas dit que tout inhibiteur d’acide aggrave le cancer.
**http://www.medisite.fr/cancer-et-nutrition-les-vitamines-anti-cancer.6239.38948.html?page=0%2C5 « Plusieurs études ont démontré que les oméga-3 (acides gras essentiels au bon fonctionnement de l’organisme) préviendraient les cancers en général (…) plutôt qu’à une supplémentation. Dans ce cas, l’apport en oméga-3 aurait entraîné l’effet inverse (chez les femmes ménopausées). (…)Une étude coréenne réalisée en 2009 a permis de préciser que ce bienfait serait surtout associé à la consommation d’oméga-3 via l’alimentation » et http://vegecru.com/omega3 Les acides gras oméga-3 d’origine bactérienne ou végétale (graines de lin[l'huile de lin rancit est toxique], graines de chia, graines de chanvre, noix commune)
* https://www.youtube.com/watch?v=Xt72L-TupYI(Thierry Casasnovas :curcuma + poivre noir [anti-physiologique] + gingembre)
* https://www.youtube.com/watch?v=_CN3MDCmpH8 (Le curcuma n’est pas anticancéreux, la curcumine oui.) ; [ (mycelle, phytosomal, liposome) = enrobé de graisses ]
***** ******https://www.youtube.com/watch?v=0oFfWXXFeyE(Curcumine & Curcuma santé anti cancer naturel zapping) et https://www.santenatureinnovation.com/nouvelle-curcumine-185-plus-puissante/ « Plusieurs techniques ont donc été mises au point pour augmenter son absorption : la purification, l’ajout de pipérine ( un actif extrait du poivre noir [anti-physiologique] ), la nano-émulsion ou son association à des phospholipides. Ces techniques ont permis de multiplier jusqu’à 29 fois la biodisponibilité de la curcumine. Ces premières avancées étaient encourageantes mais pas suffisantes sur le plan thérapeutique » et https://www.principesactifs.org/lhuile-de-cannabis-de-rick-simpson/ « Depuis 2003, Rick Simpson a ainsi proposé gratuitement son huile de cannabis à plus de 5000 patients souffrant de différentes pathologies, incluant tous les types de cancers, leucémie, mélanome, diabètes, douleurs chroniques, verrues, infections virales ou bactériennes… avec des résultats convaincants. Rick affirme ainsi que 70% des patients qui suivent son protocole se libèrent du cancer, en ingérant 60 grammes d’huile de cannabis de haute qualité. » et http://www.maplante.com/graines-de-nigelle-cancer/ et https://www.youtube.com/watch?v=qhAVZFm0rrM(Le cancer , un épouvantail – www.regenere.org ) et http://ls.eddenya.com/question-reponse/5925-le-remede-naturel-anti-cancer-que-l-industrie-pharmaceutique-ne-veut-pas-vous-reveler « Un groupe de chercheurs de l’Université du Kentucky a fait une étude sur l’extrait de pépins de raisin. Ils ont découvert que l’extrait de pépins de raisin déclenche la mort de 76% des cellules de leucémie et de cancer en seulement 24 heures. Cela a été prouvé dans des conditions de laboratoire.« Il faut moins de la moitié de la concentration de l’extrait de pépins pour contrôler la croissance des cellules cancéreuses et pour détruire plus de 50% des cellules dans la quatrième phase, moins que ce qui était nécessaire pour obtenir des résultats similaires dans la deuxième phase. » et http://afrikhepri.org/le-corossol-pour-lutter-contre-le-cancer/ « En 1976, le Dr Jerry McLaughlin de l’Université de Purdue a découvert le acétogénines ANONACEA Graviola, est un puissant anti-cancer. »La curcumine du curcuma (12 grammes ou 20 gélules de curcumine) est 185 fois mieux assimilée dans le « NovaSol® Curcumin » (curcumine « encapsulée » dans des acides gras). Parmi les agents anti-cancer, il existe le corossol (= graviola), [ L’huile de ricin et l’eau de Quinton (à boire, et par piqûre sous-cutanée dans le tissus cancéreux) ] [le reste du ricin est mortel], le raisin (avec les pépins mais surtout le raisin rouge http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/EncyclopedieAliments/Fiche.aspx?doc=raisin_nu),la graine de Nigelle sativa, une protéine issue du parasite du paludisme (ou malaria)http://www.medisite.fr/a-la-une-une-proteine-pourrait-detruire-9-cancers-sur-10.946984.2035.htmlParmi les agents anti-cancer, il existeles cannabinoïdes [ de l'huile de cannabis de Rick Simson (si possible à dominance Indica) guérissant 70% des cancers ] https://www.alchimiaweb.com/blogfr/huile-cannabis-rick-simpson/ [elle est rendue anti-cancer si on suit le protocole suivant : « L’huile d’olive serait finalement l’un des meilleurs solvants pour réaliser de l’huile de cannabis à but médical: totalement dénuée de toxicité, celle-ci est très efficace à la fois pour l’extraction des cannabinoïdes et des terpènes. L’huile d’olive n’étant pas volatile, les terpènes s’évaporent en effet beaucoup moins qu’avec d’autres solvants tels que le naphta ou l’éthanol. Pour réaliser une extraction à l’huile d’olive, il suffira de faire chauffer au bain marie (< 100ºC) environ 10g de fleurs de cannabis dans 100 ml d’huile d’olive, pendant 90 minutes. Vous retirez ensuite le mélange du bain-marie, et vous le faites chauffer à feu doux à environ 110ºC (vérifiez avec un thermomètre) pendant 30 minutes, pour procéder à la décarboxylation des cannabinoïdes. Laissez ensuite refroidir, puis filtrez. L’extraction à l’huile d’olive sera donc à la fois très facile et sans aucun danger! ». Le cannabis n’est pas compatible avec la conduite routière ; aussi, il devient toxique si on dépasse la dose ou si on en prend trop souvent (selon sa concentration de substances psychoactives). Sauf prescription médicale, il ne convient pas aux dames enceintes et aux petits enfants.
\ Je ne sais pas si la vitamine B17 et les noyaux d’abricots et les pépins de pomme et les amandes amères séchées sont comestibles OU TOXIQUES OU MORTELS, lorsqu’ils sont consommés à forte dose.
* http://micheldogna.fr/amandes-ameres-abricots/ [ (Vitamine B17 = laetrile) est une solution discutable ] « Dans le début des années 1950, ils apprirent qu’au royaume des Hunzas, dans les montagnes Himalayennes situées au nord du Pakistan, il était dit que ce peuple vivait « sans cancer ». Les Docteurs Krebs savaient qu’ils mangeaient de grandes quantités d’abricots sauvages (donc, amèrs), mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer …jusqu’à ce qu’ils aient découvert que les Hunzakuts mangeaient également les amandes des noyaux d’abricots ; leur particularité : on sait que ces amandes sont très riches en NITRILOSIDES. En outre, on les trouve aussi dans les amandes (d’amandiers), graines de pêches, pépins de pommes (pectine), millet, fèves germées, sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, mais en quantité inférieure. » Je ne sais pas
* http://legauloisdechaine.blog.lemonde.fr/2010/03/17/laetrile-amygdaline-vitamine-b17-decouverte-et-fonctionalite/ « Chaque molécule de vitamine B17 contient une molécule de cyanide d’hydrogene, une molécule de benzaldehyde et deux de glucoses (sucre) verrouillées ensemble. Chimiquement, pour libérer la molécule de cyanure, seul un enzyme appelé beta-glucosidase est a même de le faire. Cet enzyme est présent en tres, tres petite quantité dans le corps, mais il se trouve que les cellules cancéreuses en produisent beaucoup (dû au fait que la cellule cancéreuse vit dans un milieu anaérobique et utilise les sucres comme source de production d’énergie). Ainsi, le cyanide d’hydrogene est libéré en masse dans les cellules cancéreuses en combinaison avec la molécule de benzaldehyde, qui est aussi un poison violent, lorsque combiné avec le cyanide. En fait la combinaison des deux substances chimiques a un effet 100 fois supérieur a celui des deux substances prises individuellement. De ce fait les cellules cancéreuses sont oblitérées a tres grande vitesse. »
… (ÉTUDES SCIENTIFIQUES)
En l’an 2014, les pays au IDH (Indicateur de Développement Humain) dits du »Sud » n’ont presque aucun cancer, l’incidence des 20 cancers les plus courants en occident est 10 à 30 fois inférieur en Inde, dans un État il n’y a presque aucun cancer (grâce au curcuma probablement mélangé avec du poivre noir) sauf celui de la bouche (à cause de la mastication du tabac).
* GcMAF peut soigner la plupart des autistes et des cancéreux, au moins partiellement. « Ses noms techniques sont « groupe spécifique macrophage composant le facteur d’activation » ou « vitamine D binding protein macrophage facteur d’activation. » »
* http://www.thierrysouccar.com/blog/pourquoi-le-curcuma-ne-marche-pas(ce site ne porte très bien son nom ; car si on lit le contenu l’article, alors des études scientifiques ducurcuma de qualité mélangé avec du poivre noir, cela donne des résultats intéressants) ; (le fait d’introduire du gingembre augmente les effets du mélange anti-cancer) ; mais il existe de meilleures solutions pour renforcer l’efficacité du curcuma.
Références :
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(3) Lao CD1, Ruffin MT 4e, Normolle D, Heath DD, Murray SI, Bailey JM, Boggs ME, Crowell J, Rock CL, Brenner DE. Dose escalade d’une formulation curcuminoïde. BMC Complement Altern Med. 2006 17 mars, 6: 10.
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(6) Erika Jensen-Jarolim, Leszek Gajdzik, Ines Haberl, Dietrich Kraft, Otto Scheiner, Jürg Graf. Les épices chaudes influent sur la perméabilité des monocouches épithéliales intestinales humaines. J. Nutr. 1998 128: 3 577-581.
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(8) Sasaki H1, Sunagawa Y, Takahashi K, Imaizumi A, Fukuda H, Hashimoto T, Wada H, Katanasaka Y, Kakeya H, Fujita M, Hasegawa K, Morimoto T. Préparation innovante de curcumine pour une biodisponibilité orale améliorée. Biol Pharm Bull. 2011; 34 (5): 660-5.
(9) Kanai M1, Imaizumi A, Otsuka Y, Sasaki H, Hashiguchi M, Tsujiko K, Matsumoto S, Ishiguro H, Chiba T. Dose-escalation et étude pharmacocinétique de la nanocyanine curcumine, un agent anticancéreux potentiel avec une biodisponibilité améliorée, en bonne santé Volontaires humains. Cancer Chemother Pharmacol. 2012 Jan; 69 (1): 65-70.
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(12) Belcaro G., Cesarone MR, Dugall M., Pellegrini L., Ledda A., Grossi MG, Togni S., Appendino G. Enregistrement de l’évaluation des produits de Meriva, un complexe curcumine-phosphatidylcholine, pour la gestion complémentaire de Ostéoarthrite. Panminerva Medica 2010 Giugno; 52 (2 Suppl. 1) .55-62.
(13) Belcaro G1, Hosoi M, Pellegrini L, Appendino G, Ippolito E, Ricci A, Ledda A, Dugall M, Cesarone MR, Maione C, Ciammaichella G, Genovesi D, Togni S. Une étude contrôlée d’un système de distribution lécithiné De curcumine (meriva) pour atténuer les effets néfastes du traitement du cancer. Phytother Res. 2014 mars; 28 (3): 444-50.
(14) Cheng AL1, Hsu CH, Lin JK, Hsu MM, Ho YF, Shen TS, Ko JY, Lin JT, Lin BR, Ming-Shiang W, Yu HS, Jee SH, Chen GS, Chen TM, Chen CA, Lai MK, Pu YS, Pan MH, Wang YJ, Tsai CC, Hsieh CY. Essai clinique de phase I de la curcumine, un agent chimiopréventif, chez les patients présentant des lésions à haut risque ou pré-malignes. Anticancer Res. 2001 Juil-Août; 21 (4B): 2895-900.
(15) Rai B1, Kaur J, Jacobs R, Singh J. Possible mécanisme d’action pour la curcumine dans les lésions précancéreuses à base de marqueurs sériques et salivaires du stress oxydatif. J Oral Sci. 2010 Jun; 52 (2): 251-6.
(16) Dhillon N1, Aggarwal BB, Newman RA, Wolff RA, Kunnumakkara AB, Abbruzzese JL, Ng CS, Badmaev V, Kurzrock R. Essai de phase II de curcumine chez les patients atteints de cancer du pancréas avancé. Clin Cancer Res. 2008 15 juillet; 14 (14): 4491-9.
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(18) Carroll RE1, Benya RV, Turgeon DK, Vareed S, Neuman M, Rodriguez L, Kakarala M, Carpenter PM, McLaren C, Meyskens FL Jr, Brenner DE. Étude clinique de phase IIa sur la curcumine pour la prévention de la néoplasie colorectale. Cancer Prev Res (Phila). 2011 Mar; 4 (3): 354-64.
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(20) Pia Allegri, Antonio Mastromarino, Piergiorgio Neri. Gestion des rechutes chroniques de l’uvéite antérieure: efficacité du traitement par la curcumine phospholipidique par voie orale. Suivi à long terme. Ophtalmologie clinique. Octobre 2010 Volume 2010: 4 Pages 1201 – 1206.
(21) Steigerwalt R1, Nebbioso M, Appendino G, Belcaro G, Ciammaichella G, Cornelli U, Luzzi R, Togni S, Dugall M, Cesarone MR, Ippolito E, Errichi BM, Ledda A, Hosoi M, Corsi M. Meriva, Un système d’administration de curcumine lécithiné, en microangiopathie diabétique et rétinopathie. Panminerva
* https://protegetasante.net/etudes-scientifiques-les-proprietes-anticancereuses-du-ginger-sont-capables-de-detruire-le-cancer-du-colon-des-ovaires-et-de-la-prostate-beaucoup-plus-efficacement-que-la-chimiotherapie/
1. Les composés anticancéreux:
Les composés actifs présents dans le gingembre sont le Gingerols, le shagaols et le paradol. Le Journal « Food and Chemical Technology » a récemment publié une étude qui a confirmé que les propriétés anticancéreuses du gingembre émanent essentiellement de ces trois composés puissants.
2. Éliminer les cellules cancéreuses de la prostate…..Cliquez sur le bouton rouge en dessous pour passer à la page suivante:
2. Éliminer les cellules cancéreuses de la prostate:
Une étude menée par des experts américains et publiée dans le « British Journal of Nutrition », a confirmé que l’extrait de gingembre peut perturber le développement des cellules cancéreuses dans le cancer de la prostate plus rapidement que la chimiothérapie. Le traitement est une dose d’extrait du Ginger de 100 mg par kg de poids corporel du patient. L’enquête a eu des résultats dans 56% des cas étudiés. En outre, le gingembre ne cause pas de dommages aux cellules saines du corps contrairement à la chimiothérapie qui peut endommager toutes les cellules (bénignes ou malignes), de même que les os.
3. détruit les cellules cancéreuses de l’ovaire:
La Revue de la Médecine Contemporaine a publié une étude qui montre que les composés de gingembre sont capables d’arrêter l’angiogenèse dans les tumeurs ovariennes. Par conséquent, le traitement précoce est essentiel. L’angiogenèse est un processus par lequel les tumeurs développent des vaisseaux sanguins qui seront
ensuite utilisées pour nourrir, entretenir et développer la cellule cancéreuse. Si l’angiogenèse est arrêté tôt, le cancer peut être facilement traité. A cet égard, il est recommandé de procéder à un traitement par une dose médicinale du gingembre à raison de 4 grammes par jour. L’une des principales difficultés rencontrées par le patient avec cancer de l’ovaire est que les cellules malignes deviennent résistantes à la chimiothérapie après un certain temps. Cela ne se produira pas avec le traitement à base du gingembre.
4. Empêche le cancer du côlon:
Une enquête menée en 2003 a révélé que les composés actifs de gingembre ont été en mesure de protéger les cellules du tractus intestinal, en particulier la prévention du cancer du côlon. En 2015 une étude publiée dans le « The Journal of Nutrition » a assuré que les bonnes cellules ont été protégées par le gingembre alors que les cellules cancéreuses ont été détruites dans un court laps de temps.
* https://www.alchimiaweb.com/blogfr/huile-cannabis-rick-simpson/
« Cannabinoïdes [ de l’huile de cannabis de Rick Simson (si possible à dominance Indica) :
Le processus que je vais vous décrire implique de nettoyer la matière végétale deux fois, avec un solvant efficace tel que le naphta pur, pour extraire la résine disponible sur la plante. Le naphta a prouvé être un solvant très efficace pour produire l’huile, et se trouve parfois sous le nom éther de pétrole. Les seuls solvants que j’ai déjà essayé sont l’éther, l’alcool et le naphta. L’éther est mon favori, c’est un solvant très efficace, mais il coûte cher et peut être difficile à trouver. Je pense aussi que l’usage de l’éther est plus adapté à des appareils de distillation fermés, car il est très volatil est que ses vapeurs le rendent assez dangereux à manipuler.
L’alcool n’est pas un solvant aussi efficace que l’éther ou le naphta, car il est moins sélectif par nature, mais il fonctionne tout de même. L’alcool va dissoudra davantage de chlorophylle des buds, ce qui produira une huile de couleur plus sombre. Pour qu’un solvant soit efficace il doit être 100% pur, et l’alcool pur à 100% est à la fois cher et difficile à trouver. D’un autre coté, le naphta n’est pas cher et pas trop difficile à trouver. De nombreuses boutiques pour peintres proposent du naphta afin de diluer la peinture, il est donc facile à trouver ce qui en fait mon solvant de premier choix.
Tous ces solvants, incluant l’alcool, sont toxiques par nature, mais si vous suivez ces instructions, les traces éventuelles de solvants restant dans l’huile ne seront pas un problème. Quand vous avez terminé, l’huile se refroidit à température ambiante pour former une forme de graisse. Cette huile terminée sera autant antitoxique que possible. Même si des résidus de solvants sont encore présents sous forme de traces, l’huile elle-même va agir contre ceux-ci en neutralisant toute toxicité.
Je ne conseille pas l’usage de gaz butane en tant que solvant pour produire cette médecine, car il est très volatil et demandera donc l’usage d’un équipement avancé pour neutraliser tout danger. Aussi, utiliser du butane pour faire de l’huile ne produira pas de décarboxylation du produit fini, ce qui rendra cette huile moins efficace pour l’usage médical, à moins de la vaporiser.
La matière végétale de départ doit être la plus sèche possible. Elle est alors placée dans un contenant de bonne profondeur, pour éviter que le mélange d’huile et de solvant ne déborde durant le processus de lavage. Une fois les buds placés dans le récipient désiré, celui-ci est rempli avec le solvant. Vérifiez que votre espace de travail soit bien ventilé et qu’il n’y ait aucune étincelle, flamme ou élément chauffant à proximité. (Ne fumez pas!) Utilisez un bout de bois pour écraser la matière végétale, puis rajoutez du solvant jusqu’à ce que les buds soient complètement immergés. Touillez alors la matière végétale dans le solvant avec le bout de bois, pendant environ 3 minutes. Transvasez ensuite délicatement le mélange d’huile et de solvant dans un autre récipient propre, en laissant la matière végétale dans le récipient de départ, pour la laver une seconde fois.
Ajoutez de nouveau du solvant sur la matière végétale, pour qu’elle soit de nouveau immergée et mélangez là de nouveau pendant 3 minutes avec le bout de bois. Transvasez alors doucement ce mélange d’huile et de solvant dans le récipient contenant le résultat du premier lavage. Essayer de faire un troisième lavage sur la matière végétale ne produira que très peu d’huile, et sera très peu bénéfique sur le plan médical. Le premier lavage extrait en effet 70 à 80% de la résine des buds, et le second lavage retirera quasiment toute la résine restante.
Utilisez quelque chose comme un gros bidon d’eau (vide et propre) avec une petite ouverture sur le dessus, et insérez un entonnoir dans le trou, et de larges filtres à café dans l’entonnoir. Transvasez alors le mélange d’huile et de solvant issu des deux lavages dans les filtres à café, et laissez le mélange passer à travers les filtres pour en retirer toute matière végétale non désirée. Dès que le mélange d’huile et de solvant a été filtré, il est maintenant prêt pour l’étape d’évaporation.
Pour séparer le solvant de l’huile, utilisez un cuiseur de riz avec une ouverture sur le dessus, et possédant deux niveaux de température, un plus élevé et un autre plus bas. Assurez-vous que le cuiseur de riz soit situé dans un espace très bien aéré, et placez un ventilateur de brassage juste à côté pour chasser les vapeurs produites par l’ébullition du solvant. Les cuiseurs de riz sont conçus pour que le riz ne brûle pas lors de la cuisson, avec des capteurs de températures placés à l’intérieur qui diminueront automatiquement la température du cuiseur lorsque la température interne commence à être trop élevée. Quand vous produisez de l’huile, si la température est trop élevée cela vaporisera les cannabinoïdes contenus dans l’huile, et bien sur vous ne souhaitez pas que cela se produise. C’est pour cette raison que je recommande fortement d’utiliser un cuiseur de riz à ceux qui n’ont jamais produit d’huile auparavant, car cela élimine le risque que cela ne se produise, à condition bien sûr que le cuiseur de riz fonctionne bien.
Soyez donc certain qu’il n’y ait aucune étincelle, flamme ou élément chauffant dans l’espace où vous placerez le cuiseur de riz, car les vapeurs produites par le solvant sont très inflammables. J’ai utilisé la même technique des milliers de fois et je n’ai jamais eu d’incidents, mais pour votre propre sécurité je vous prie de suivre toutes ces instructions, et je vous recommande aussi de ne pas respirer les vapeurs produites par le solvant. Remplissez le cuiseur de riz à environ 75%, afin de laisser suffisamment d’espace au mélange d’huile et de solvant pour bouillir sans déborder. Allumez le cuiseur de riz sur la position de température élevée, et commencez à évaporer le solvant. Lorsque le niveau diminue dans le cuiseur de riz, rajoutez délicatement du mélange d’huile et de solvant, jusqu’à ce qu’il ne vous reste plus rien à ajouter.
Quand le niveau dans le cuiseur de riz diminue pour la dernière fois, et qu’il est réduit à environ 5 cm d’épaisseur, ajoutez quelques gouttes d’eau dans le mélange. Lorsque je fais bouillir le mélange d’huile et de solvant issu d’un demi-kilo de matière végétale, j’ajoute en général 10 à 12 gouttes d’eau à ce moment.
Cette petite quantité d’eau va permettre au reste de solvant de s’évaporer plus facilement de l’huile restant dans le cuiseur, la température d’évaporation de l’eau étant supérieure à celle d’évaporation du solvant. Quand le niveau a vraiment diminué dans le cuiseur, j’utilise d’habitude une paire de gants, pour soulever le cuiseur et remuer son contenu, jusqu’à ce que le cuiseur diminue automatiquement sa température.
Lorsque la fin du solvant aura été évaporée, vous pourrez entendre un son de craquement produit par l’huile dans le cuiseur, et vous verrez des bulles se former dans celle-ci. Vous pouvez aussi remarquer un peu de fumée ou de vapeur provenant de l’huile, mais ne vous inquiétez pas, car celle-ci est principalement de la vapeur produite par les quelques gouttes d’eau ajoutées précédemment. Une fois que le cuiseur est repassé automatiquement sur sa température de fonctionnement plus basse, je transvase son contenu dans un récipient en acier inoxydable. Il restera une petite quantité d’huile dans le cuiseur, qui sera très difficile à récupérer, à moins d’utiliser quelque chose comme du pain sec pour absorber l’huile tant qu’elle est encore chaude. Cette petite quantité d’huile sur du pain peut être consommée en tant que médecine, mais rappelez vous que sous forme ingérée cela peut parfois prendre une heure ou davantage avant de ressentir les effets. Soyez donc très prudent sur la quantité de pain et donc d’huile que vous consommerez, car un excès pourrait vous faire dormir quelques heures.
Prenez l’huile que vous avez transvasée dans le récipient en acier inoxydable, et placez celui-ci sur un dispositif chauffant de manière modérée, comme par exemple une cafetière électrique, pour évaporer toute eau restante dans l’huile. Assez souvent cela ne prend qu’un court instant pour évaporer l’eau restante, mais certaines variétés produisent davantage de terpènes que d’autres. Ces terpènes peuvent faire en sorte que l’huile que vous avez maintenant sur la cafetière produise des bulles pendant un certain temps, et il faudra alors patienter jusqu’à ce que l’huile ne présente plus d’activité. Lorsque l’huile placée sur la cafetière ne produit plus de bulles, et qu’il n’y a plus d’activité visible, retirez l’huile de la cafetière et laissez la refroidir quelques minutes. Utilisez alors une seringue sans aiguille, pour aspirer lentement l’huile encore chaude dans la seringue, et laissez la refroidir. L’huile va rapidement se changer en graisse épaisse, parfois l’huile devient tellement épaisse qu’il peut être difficile de la sortir de la seringue une fois refroidie. Si cela se produit, passez simplement votre seringue sous l’eau chaude, et l’huile sortira beaucoup plus facilement. Parfois un patient va sortir trop d’huile de la seringue, mais si cela se produit il suffira de plonger la seringue dans l’huile pour aspirer l’excès, qui retournera facilement à l’intérieur.
Tout d’abord, il est important de rappeler que les cannabinoïdes présents dans la plante de la marijuana ne sont (quasiment) pas sous leur forme active. Une décarboxylation est en effet nécessaire afin de transformer les formes acides inactives des cannabinoïdes, en leur forme active recherchée par le consommateur. Cette décarboxylation se fait sous l’action de la chaleur, c’est pourquoi elle est souvent réalisée directement lors de la consommation (combustion, vaporisation…), ou bien lors de la préparation de l’extraction (cuisson du beurre de Marrakech…). Le THCA inactif de la plante est alors transformé en THC actif, le CBDA inactif est transformé en CBD actif, et ainsi de suite. Si vous réalisez une extraction de cannabinoïdes, mais ne procédez pas à leur décarboxylation, cette extraction sera donc de plus faible puissance thérapeutique. Pour réaliser la décarboxylation des cannabinoïdes, il est nécessaire de chauffer ceux-ci à au moins 106ºC pendant environ 30 minutes. Le problème est qu’en réalisant ce traitement à la chaleur, on perd une très grande partie des terpènes du cannabis, les molécules aromatiques qui possèdent également d’intéressantes propriétés thérapeutiques! Une huile de cannabis ayant été chauffée ne contient donc presque plus de terpènes, alors qu’une huile de cannabis n’ayant subi aucun chauffage ne contient quasiment pas de cannabinoïdes sous leur forme active. Ce problème est hélas récurrent quel que soit le solvant utilisé pour l’extraction. Dans le cas de l’huile de Rick Simpson, les cannabinoïdes sous leur forme active sont davantage recherchés que les terpènes, il faut donc chauffer l’huile de cannabis pour réaliser la décarboxylation du THC et des autres cannabinoïdes. L’extraction à l’alcool (éthanol) est probablement la technique la plus ancienne. Elle était disponible dans les pharmacies jusqu’aux années 1950, sous le nom de teinture de cannabis. Il est toutefois très difficile de trouver de l’éthanol pur à 100%, et il faudra éviter celui de pharmacie qui contient un agent dénaturant pour éviter d’être consommé. L’éthanol est relativement peu toxique, possède une bonne capacité d’extraction des cannabinoïdes et des terpènes, mais il extrait hélas également la chlorophylle de la plante, ce qui donne un gout vert désagréable au résultat final. Il est éventuellement possible de filtrer cette extraction alcoolique avec du charbon actif pour éliminer la chlorophylle, mais cela élimine alors une grande partie des cannabinoïdes (50%). L’extraction à l’alcool n’est donc pas la technique idéale.
L’huile d’olive serait finalement l’un des meilleurs solvants pour réaliser de l’huile de cannabis à but médical: totalement dénuée de toxicité, celle-ci est très efficace à la fois pour l’extraction des cannabinoïdes et des terpènes. L’huile d’olive n’étant pas volatile, les terpènes s’évaporent en effet beaucoup moins qu’avec d’autres solvants tels que le naphta ou l’éthanol.
Pour réaliser une extraction à l’huile d’olive, il suffira de faire chauffer au bain marie (< 100ºC) environ 10g de fleurs de cannabis dans 100 ml d’huile d’olive, pendant 90 minutes. Vous retirez ensuite le mélange du bain-marie, et vous le faites chauffer à feu doux à environ 110ºC (vérifiez avec un thermomètre) pendant 30 minutes, pour procéder à la décarboxylation des cannabinoïdes. Laissez ensuite refroidir, puis filtrez. L’extraction à l’huile d’olive sera donc à la fois très facile et sans aucun danger! »
¤ (PARA)MÉDECINES : ANTI-CANCER : MÉTHODES DIVERSES : (ne remplacent pas les conseils du médecin) : (VI/VII)
¤ Mission de sauvetage des plantes médicinales :
Contre le cancer, Aloe arborescens. Le Desmodium est l’un des meilleurs protecteurs du foie (lors des chimio-thérapies) ; le chardon-marie et le romarin aussi. Le Ginko biloba (anti-oxydant et anti-fibrose post-radique) dans la radio-thérapie. L’extrait de brocolis dans la radio-thérapie.
Le curcuma et le millepertuis doivent être évités dans les chimio-thérapies (sauf indication contraire)
14 plantes anti-cancer :
Ail des champs
Bourse-à-pasteur
Chardon crépu
Églantier
Grande ortie
Hêtre
Lamier blanc
Marguerite des prés
Orpin blanc
Pissenlit
Raiponce en épi
Scabieuse des champs
Trèfle des prés
Violette odorante
¤ Le thé (même vert) et le café, lorsqu’ils sont pourvus de (théine = caféine), ce sont des remèdes discutables contre le cancer. Il est préférable d’enlever leur (théine = caféine) ou de consommer beaucoup d’eau pour que ces remèdes deviennent vraiment intéressants. (an 2016) :
\ David SERVAN-SCHREIBER, dans ses livres intitulés « Anti-cancer » et « Guérir », il affirme qu’on a prouvé scientifiquement l’efficacité du thé vert sur les humains (surtout les enfants) pour mieux supporter les chimio-thérapies, en cas de cancer. Attention… le thé vert doit être consommé un certain temps avant ou après les chimio-thérapies, mais il ne peut pas être consommé pendant certaines chimio-thérapies.
\ Une étude faite sur 5 ans au Japon ne voit aucune corrélation entre le thé vert et la réduction du cancer. Mais des études suffisamment longues dans le temps voient une corrélation entre le thé vert et le risque de réduction du cancer. http://www.guerir.org/david-servan-schreiber/billets-de-blog/quelle-quantite-de-the-vert-pour-un-effet-anticancer.htm1. Inoue M, Tajima K, Mizutani M, et al. Regular consumption of green tea and the risk of breast cancer recurrence: follow-up study from the Hospital-based Epidemiologic Research Program at Aichi Cancer Center (HERPACC), Japan. Cancer Letters 2001;167(2):175-82.
2. Kurahashi N, Sasazuki S, Iwasaki M, Inoue M, Shoichiro Tsugane for the JSG. Green Tea Consumption and Prostate Cancer Risk in Japanese Men: A Prospective Study. Am J Epidemiol 2007;167(1):71-7.
3. Beliveau R, Gingras D. Green tea: prevention and treatment of cancer by nutraceuticals. Lancet 2004;364(9439):1021-2.
\ Le thé vert kukicha (feuilles et tige) a très peu de théine, donc il est mieux que le thé vert (deux ou trois fois moins de théine que le café), qui est mieux que le café. Il faudrait quatre verres d’eau (supplémentaires à la quantité d’eau conseillée ou judicieuse) pour éliminer les effets nocifs d’un verre de café ; il faudrait la moitié ou le tiers de quatre verre d’eau (supplémentaires à la quantité d’eau conseillée ou judicieuse) pour éliminer les effets nocifs d’un verre de thé (NON kukicha).
* http://docteurbonnebouffe.com/bienfaits-the-blanc-elixir-jeunesse/ (avantages du thé blanc, l’un des aliments les plus riches au monde en anti-oxydant)
* http://ileauxepices.com/blog/2013/05/03/le-the-noir-histoire-vertus-et-conseils-de-preparation/wpid2150/ (avantages du thé noir)
* http://www.topsante.com/nutrition-et-recettes/la-sante-par-les-aliments/les-bons-aliments/the-rouge-3-choses-a-connaitre-avant-de-le-consommer-10743 (avantages du thé rouge, alias rooibos) (sans théine)
* https://www.elblogdelasalud.info/fr/los-pros-y-contras-del-cafe/1839 (le café a de nombreux inconvénients, mais son avantage est la présence de Bore qui aurait un effet contre le cancer de la prostate. Le café est une mauvaise idée lorsqu’on connaît le thé vert [surtout kukicha : tiges et feuilles] )
* http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=bore_ps (on trouve du Bore dans pleins de végétaux, qui n’ont pas les inconvénients du café)
¤ Contre certains types ou tous les types cancers (remèdes variés) :
* http://www.medisite.fr/cancer-les-traitements-et-levolution-les-plantes-anti-cancer.54513.38946.html?page=0%2C7(feuilles de pervenche de Madagascar) (anticancer et anti-diabète)
** Cancer du sein : !…! + Phytolacca 200c + Conium 3c + Thuja 30chttp://www.isias.lautre.net/spip.php?article412 et http://initiativecitoyenne.be/article-l-homeopathie-denigree-par-le-kce-mais-efficace-contre-le-cancer-108154750.html(l’homéopathie, dangereuse si on dépasse la dose, mais elle peut guérir entièrement environ 20 % des cancers du sein, et elle peut stabiliser ou réduire environ 20% d’autres cancers du sein.)
* http://www.thierrysouccar.com/blog/mega-doses-de-vitamine-c-cancer-et-sante-la-fin-de-lhistoire (vitamine C)
* http://dailygeekshow.com/virus-sida-cancer-traitement/ (Des chercheurs tentent de guérir le cancer en modifiant le virus du sida, mais ils ne maîtrisent pas tous les effets secondaires)
* http://www.consoglobe.com/superbrocoli-pour-lutter-contre-le-cancer-cg (« Beneforte »)
* https://www.santenatureinnovation.com/la-plante-merveilleuse-venue-dinde/ (Ashwagandha)
* http://www.sante-nutrition.org/etude-revolutionnaire-cette-herbe-verte-pourrait-etre-le-remede-a-5-differents-types-de-cancer-y-compris-de-lovaire-du-foie-du-poumon-et-le-melanome/ (moringa)
* https://www.youtube.com/watch?t=360&v=BGKgKIvtPkw (Brou de noix noire, impérativement de couleur verte) ; (clous de girofle et armoise dite « absinthe »).
* http://www.maxisciences.com/th%E9-vert/the-vert-et-medicament-contre-le-cancer-peuvent-interagir-negativement_art833.html (Le thé vert, bien qu’anti-cancer potentiel (an 2016), annule les effets d’un certain médicament anti-cancer)
* http://www.egaliteetreconciliation.fr/Thierry-Casasnovas-Tu-as-un-cancer-28323.html (jus de raisin++, et de carotte
* http://www.santenatureinnovation.com/cancer-le-remede-oublie/ (la bactérie streptocoque responsable de l’érysipèle)
* http://www.sante-nutrition.org/le-ph-du-corps-peut-guerir-le-cancer-ou-etre-la-cause-de-celui-ci/ O2+0acide=0cancer?
* http://www.sante-nutrition.org/cancer-et-si-le-docteur-simoncini-avait-raison/ (résumé sur le bicarbonate de soude)
* https://www.youtube.com/watch?v=k8x48WiKvEc&feature=youtu.be (anti-fongique [bicarbonate de soude, teinture d'iode] ; Tullio Simoncini disait que le champignon est l’unique cause du cancer ; il semblerait qu’il ait tort.Thierry Casasnovas dit que le champignon est l’un des effets du cancer ; il semblerait qu’il ait raison.
* http://www.espritsciencemetaphysiques.com/citron-bicarbonate-soude-combinaison-guerison-puissante.html (avis divergents sur le mélange : citron \ bicarbonate de soude)
* http://www.preventionsante.org/cette-huile-essentielle-tue-le-cancer-du-poumon-de-la-bouche-et-de-lovaire/ HE de thym ; le thym à forte dose est toxique
* http://aloearborescens-info.blogspot.fr/p/etude-sur-leffet-anti-cancer-de-laloe.html (Aloe arborescens)
* http://monguide-medical.com/Actualites.php?news_id=324&task=detail_news2 (feuilles de l’arbre Graviola)
* http://www.sante-nutrition.org/97-des-malades-atteints-du-cancer-en-phase-terminale-ont-precedemment-subit-cette-intervention-dentaire/ (dent dévitalisée serait facilement cancérigène)
* http://dailygeekshow.com/2014/10/19/plante-australienne-detruire-tumeurs-cancereuses-medecine/?utm_source=newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=Newsletter_Journaliere_2014-10-19 (plante australi.
* http://www.sante-nutrition.org/bromelaine-dissoudre-les-tumeurs/ (anti cellules cancéreuses)
* http://afrikhepri.org/quelles-sont-les-veritables-causes-cancer/ (anti-causes)
* http://www.sante-nutrition.org/mourante-elle-affirme-soigner-son-cancer-avec-des-ananas/ (ananas)
* http://www.sante-nutrition.org/aliment-extremement-courant-sest-revele-capable-tuer-86-cellules-cancereuses-du-poumon-in-vitro/ (poumon)
* http://www.20minutes.fr/lyon/1534531-20150206-rhone-alpes-decouvert-molecule-pouvant-tuer-tumeurs-cancereuses
* http://www.sante-nutrition.org/lhuile-noix-coco-tue-93-cellules-cancer-du-colon-in-vivo/ (côlon)
* http://www.sante-nutrition.org/gueri-lherbe-ble-homme-74-ans-remporte-combat-contre-cancer/ (herbe de blé)
* https://www.youtube.com/watch?v=sGW0T8uNSy8 (eau vibrante grâce au son)
* http://www.sante-nutrition.org/symbolique-du-cancer-dr-eduard-van-den-bogaert/ (chien pris, cancer guérit en 2 sem.)
* http://www.sante-nutrition.org/cancer-du-sein-cocktail-prometteur-6-plantes-guerisseuses/ (6 plantes anti-cancer)
* http://www.sante-nutrition.org/super-cocktail-6-molecules-vegetales-detruit-cellules-cancereuses-du-sein/ (6 molécules)
* http://www.sante-nutrition.org/les-8-plantes-aliments-les-efficaces-contre-cancer/ (8 plantes anti-cancer)
* http://hitek.fr/actualite/baie-australie-tue-cellules-cancer_4025 (baie d’Australie)
* http://www.sante-nutrition.org/cancer-une-fille-de-8-ans-a-reduit-de-75-sa-tumeur-grace-a-un-traitement-alimentaire/
* http://l.follet.free.fr/La%20cure%20de%20Breuss.htm (en outre, le cru est souvent conseillé)
* http://cancertemoignage.com/cancertemoignage/prele.html (prêle des champs est bénéfique, celle des marais est toxique)
* http://www.sante-nutrition.org/ce-compose-dhuile-dolive-tue-les-cellules-cancereuses-en-moins-dune-heure/ (huile d’olive
- http://www.algerie1.com/actualite/le-corossol-100-fois-plus-fort-pour-tuer-le-cancer-que-la-chimiotherapie/ (corossol)
* http://www.sante-nutrition.org/il-a-recemment-ete-prouve-que-cette-huile-essentielle-tue-le-cancer-du-poumon-de-la-bouche-et-de-lovaire/ (huile essentielle de thym)
* http://www.sciencevirale.com/une-herbe-qui-tue-98-des-cellules-cancereuses-en-16-heures/ (Artemisia annua)
*http://m.20minutes.fr/lyon/1534531-rhone-alpes-decouvert-molecule-pouvant-tuer-tumeurs-cancereuses Aurélie Juhem
* http://www.ipsn.eu/newsletter/cancer-guerison-interdite/ (Gaston Naessens et 714-X)
\ Le terme « tumeur » devrait être supprimé, car de manière subliminale (effet nocebo), il dit « tu meurs » en 2 mots.
* http://www.ohmymag.com/animaux/ce-chien-a-sauve-la-vie-de-sa-ma-tresse-il-a-detecte-son-cancer-du-sein-avant-les-medecins_art82077.html (chien médecin)
* http://www.atlantico.fr/atlantico-light/cancer-poumon-cancer-plus-mortel-bientot-detectable-grace-simple-prise-sang-1836902.html#Sh9ghT2rK8ljxopC.99 (cancer du poumon)
* http://www.sante-nutrition.org/americain-15-ans-developpe-test-depister-cancer/ (test dépiste cancer)
* https://deghys.wordpress.com/2015/06/04/cet-etudiant-americain-de-niveau-secondaire-a-invente-un-detecteur-de-cancer-en-seulement-5-minutes/ (détecteur de cancer)
° Herpès et cancer :
* L’acide aminé lysine http://www.herpes-info.fr/lysine/ (concurrent de l’acide aminé arginine) permet de réduire l’herpès.
* L’herpès permet de réduire le cancer de la peau d’un patient sur quatre http://www.cancer.be/nouvelles/utiliser-un-virus-de-lherpes-contre-le-cancer-de-la-peau
° Le jeûne :
\ En cas de cancer, le jeûne permet de mieux supporter les chimiothérapies, mais son efficacité (sans chimiothérapie) est variable. (année 2016)
* https://www.dailymotion.com/video/xlycrq_gueri-du-cancer-par-le-jeune-1-jean-claude_lifestyle jeûne anti-cancer : 1\2
* https://www.dailymotion.com/video/xlyajd_gueri-du-cancer-par-le-jeune-2-michel_lifestyle jeûne anti-cancer : 2\2
° + de 70 plantes anti-cancer :
* http://www.maplante.com/plantes-anti-cancer/ ( + de 70 plantes anti-cancer )
Des plantes anti-cancer
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Chirette verte (Andrographis paniculata) : antibactérien, antivirales et tonique du système immunitaire. Des tests ont démontré que la plante a un effet contre le cancer de l’estomac, du sein, de la prostate, la leucémie et le mélanome.
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Luzerne (Medicago sativa) : une plante très riche en vitamines et en minéraux, elle tonifie l’organisme et lui permet de lutter contre une maladie, elle a une certaine capacité à inhiber la croissance des cellules cancéreuses.
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Anis (Pimpinella anisum) : Grâce à son action oestrogénique cette plante, Peut être utile contre le cancer de la prostate.
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La Nymphée odorante (Nymphaea odorat) : fut l’un des premiers traitements en Amérique éclectique avant l’avènement de produits pharmaceutiques contre le cancer. Utilisé traditionnellement contre la diarrhée chronique et les brulures. Une infusion faite à partir des racines est utilisé dans le traitement de la tuberculose, les troubles bronchiques chroniques, la diarrhée, la dysenterie, l’inflammation gastro-intestinale, la gonorrhée, des pertes vaginales, des glandes enflammées, plaies dans la bouche et pour arrêter le saignement. Un cataplasme à base de racines est utilisé dans le traitement de gonflements, des furoncles, des tumeurs, inflammation de la peau, la vaginite, etc. Une guérison complète du cancer de l’utérus par une injection utérine d’une décoction a été enregistrée.
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Arjuna (Terminalia Arjuna) : Cet arbre abaisse le taux de cholestérol global tout en augmentant le bon (HDL), Il ya eu des actions anticancéreuses qui sont à l’étude.
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Ashwagandha (Withania somnifera) : une plante tonique et réparatrice, protège les cellules contre les dommages chimiques et rend les cellules cancéreuses plus sensibles aux rayonnements. Une plante adaptogène, qui a une activité anti-inflammatoire, sédative et a un effet antioxydant. Cette plante améliore les défenses naturelles de l’organisme. Elle est considérée comme une plante de longévité en Inde. Une étude de l’Université Amravati en Inde a confirmé d’autres études récentes, qu’un composant biochimique de Ashwagandha pourrait inhiber la croissance du cancer en interférant avec la capacité de la cellule cancéreuse pour l’empêcher à prévenir sa destruction par le système immunitaire. La cellule cancéreuse utilise souvent une enzyme, la survivine pour inhiber le système de l’apoptose (destruction d’une cellule cancéreuse). Mais les chercheurs ont constaté que le withanone – l’un des principaux constituants de l’Ashwagandha a la capacité unique de se fixer et interférer avec la survivine et rend la cellule cancéreuse à nouveau disponible pour le système immunitaire pour la détruire. L’Ashwagandha favorise la guérison de l’os et peut traiter la maladie de Parkinson selon d’autres recherches. Les médecins ayurvédiques anciens connaissaient le pouvoir de guérison de l’Ashwagandha, ils l’ont utilisé cliniquement pour favoriser la guérison et pour stimuler le système immunitaire. Ils utilisaient l’herbe pour de nombreux maux, y compris l’anxiété, la dépression, la cicatrisation des plaies, l’immunosuppression et bien d’autres.
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Chardon béni (Cnicus benedictus) : activité antibactérienne et antitumorale.
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Amrit (Tinospora Cordifolia) : Connu sous le nom commun Guduchi. Tonique du système immunitaire, a une activité antibiotique et permet de tuer les cellules cancéreuses. Réduit les effets secondaires de la chimiothérapie.
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Actée à grappes noires (Cimicifuga racemosa) : ses composées oestrogéniques ralentissent la croissance des tumeurs du cancer de la prostate.
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Aigremoine (Agrimonia euratoria) : Efficace contre toutes les formes de cancer sauf la leucémie. Elle est utile en cas de désintoxication, goutte et certains types d’arthrite.
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Chélidoine (Chelidonium majus) : utilisé lorsque la cause du cancer est virale, ou en cas d’une hypertrophie du foie. Nécessite une supervision d’un professionnel.
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Nerprun purgatif (Rhamnus cathartica) : laxatif et diurétique, utilisé en cas de cancer lié à un problème rénal ou à une constipation. Contient des composés anti-tumorales.
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Clajeux (Iris versicolor) : l’utilisation doit être contrôlée par un naturopathe pour votre sécurité. Les graines sont la partie active contre le cancer et ont une capacité à inhiber la synthèse des cellules cancéreuses. La plante fraîche est extrêmement toxique.
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Boswellia serrata : plante anti-tumorale, généralement utilisé en combinaisons avec d’autres herbes, comme le curcuma et la réglisse.
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Cordyceps (Cordyceps sinensis) : Des recherches récentes ont trouvé qu’il pourrait être cytotoxique pour les cellules cancéreuses. Ce champignon a des effets bénéfiques pour le système immunitaire, endocrinien, respiratoire, rénale, cardiovasculaire, hépatique et du système nerveux ainsi que notre réponse immunologique à la maladie.
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Chimaphila Umbellata: La Chimaphile à ombelles ou Pyrole en ombelle (Bitter Wintergreen), utilisé pour le cancer du sein et les cancers lymphatiques. A ne pas utiliser pour une longue période
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Phytolacca americana : Le Raisin d’Amérique ou Teinturier, utilisé pour les cancers du sein, de la gorge et de l’utérus. A utiliser sous surveillance d’un professionnel à cause de sa toxicité.
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Pétasite (Petasites hybridus) : Agit comme un analgésique pour les tumeurs, la plante est toxique ce qui nécessite le suivi d’un professionnel.
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Lapacho (Tabebuia avellanedae) : A une action bénéfique contre les tumeurs solides telles que les carcinomes de Walker. Supprime et réduit ces tumeurs et semble être efficace contre la leucémie.
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Suma (Pfaffia paniculata) : Ginseng Brésilien, tonique, adaptogène, doux analgésique et anti-inflammatoire. On pense que c’est un oxygénateur cellulaire. La suma améliore la santé générale pour lutter contre le cancer.
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Violette odorante (Viola odorata) : Les feuilles sont utilisées pour le sein et le cancer du poumon.
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Salsepareille (Smilax medica) : contre l’inflammation du foie, utile contre les effets secondaires de la chimiothérapie et la radiothérapie. A ne pas utiliser en cas de maladie rénale.
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Le Trèfle des prés (Trifolium pratense): Pocède une activité anti-tumorale, à ne pas utiliser avec des anticoagulants.
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Drosera à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) : Agit comme un anticancéreux et réparateur de gènes.
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Serenoa repens (Serenoa gerrulata) : Ce palmier nain est utile contre le cancer de la prostate.
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Polypodium decumanum : Cette fougère semble avoir une action de modulation immunitaire, utile contres les obstructions bronchiques et le cancer.
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Valériane (Valeriana officinalis) : Elle a des effets calmants et une action anti-tumorale.
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Saule blanc (Salix alba) : Utile pour restaurer la fonction de la moelle osseuse après une chimiothérapie ainsi que d’un effet positif sur la leucémie. Le saule a les propriétés de l’aspirine, mais il ne provoque pas d’ulcère d’estomac.
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Estragon (Artemisia dracunculus) : A des propriétés anti-tumorales. Contient des rutines, qui renforcent les parois capillaires.
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Pastel des teinturiers (Isatis tinctoria) : propriétés antivirales, anticancéreuses et anti-inflammatoire, c’est une plante qui soutient le foie.
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Oseille crépue (Rumex crispus) : Utile pour l’élimination des métaux lourds, bénéfique pour la digestion en stimulant la production de bile. Utilisé en Chine et en Inde pour nettoyer le sang en cas de traitement chimio ou de rayonnement.
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Zédoaire (Curcuma zedoaria) : Appartenant à la famille du gingembre et du curcuma ces racines ont des propriétés anticancéreuses et semblent être efficace pour les cancers du col utérin et du foie. Renforce l’immunité ainsi que la protection des leucocytes (globules blancs) endommagés en radiothérapie
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Dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) : contient des principes actifs contre le cancer.
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Espinheira Santa : vendu dans les magasins et les pharmacies brésiliennes pour traiter les ulcères et le cancer. Plusieurs formules topiques, pour le cancer de la peau sont vendus au Brésil avec comme ingrédient actif principal Espinheira Santa. Il est également utilisé pour les ulcères, comme un antiacide, comme laxatif, comme un remède colique, pour éliminer les toxines par les reins et la peau, pour soutenir les reins, les glandes surrénales et les fonctions digestives, ainsi qu’une thérapie adjuvante pour un cancer. La plante est déconseillée pour le cancer du sein, de l’ovaire et de l’utérus.
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Mullaca (Physalis angulata) : les stéroïdes naturels contenus dans le Mullaca stimulent l’immunité, plusieurs études sur le cancer ont démontré que cette plante est capable de tuer de nombreux types de cellules malignes in vitro. Dans une étude, le Mullaca a montré une forte cytotoxicité contre les cellules du cancer du rein, tandis qu’un extrait de la plante a pu réduire la taille des tumeurs cancéreuses chez des souris atteintes de leucémie lymophocytic. Dans diverses études, les extraits stéroïdiens des plantes (physalins) ont eu une forte activité contre plusieurs types de cellules cancéreuses humaines et animales, y compris: du foie, du col de l’utérus, le mélanome, du cerveau, du nasopharynx et le cancer du côlon. La recherche sur les avantages de Mullaca dans la lutte contre le cancer a commencé dans les années 1980 par des chercheurs aux États-Unis et la Thaïlande, et vérifié en 1992 à l’Université de Taiwan, qui a démontré une action significative contre cinq types de cancer humain et trois types de cancer de l’animal. En 2001, un nouveau produit chimique dans le Mullaca a été isolé à l’Université de Houston. Ce produit chimique était toxique contre le cancer du nasopharynx, le cancer du poumon et la leucémie chez la souris. Des recherches supplémentaires en Russie et en Chine ont démontré une action forte contre la blastogenèse, un processus dans le corps déclenché par la leucémie, tout en améliorant la fonction immunitaire. On croit que les produits chimiques stéroïdiens dans l’herbe et le niveaux des enzymes peuvent arrêter le cycle cellulaire dans les cellules cancéreuses tout en provoquant des dommages dans l’ADN de ces cellules afin de les empêcher de se répliquer. Le Mullaca est utilisé en Amérique du Sud et du Nord par les herboristes comme une thérapie complémentaire pour la leucémie et le cancer et en tant que traitement de l’infection pulmonaire à côté de la médecine moderne.
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Mutamba : tue les bactéries, élimine les champignons, tue les virus, tue les cellules cancéreuses, nettoie le sang, supprime la toux, combat les radicaux libres, abaisse la pression artérielle, arrête le saignement. Dans une étude faite en 1990 une recherche brésilienne a démontré qu’un extrait de feuilles séchées était cytotoxique contre les cellules cancéreuses in vitro, ce qui donne une inhibition de 97,3% de la croissance cellulaire. Certaines des dernières recherches sur le Mutamba s’intéressaient aux antioxydants présents dans l’écorce et les feuilles (proanthocyanidines) et leur capacité à interférer avec la prostaglandine synthétase, un processus par lequel les bactéries et les agents pathogènes se répliquent.
Autres plantes Amazoniennes contre le cancer
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Vassourinha;
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Guacatonga;
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Simarouba;
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La griffe du chat;
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Anamu;
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Le pau d’arc;
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Fedegoso;
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Sangre de grado;
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Amargo;
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Copahu.
Plantes utilisées pour traiter le cancer en Afrique
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Anacardiaceae : Spondias mombin (Hog Plum, Plum Ashanti) – extrait aqueux d’écorce pour le cancer de l’utérus
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Annonaceae : Xylopia aethipica (arbre d’épice, poivre éthiopien, Hwenetia) – cancer du nez, il a été démontré que les alcaloïdes ont une activité anti-paludisme.
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Apocynaceae : Rauvolfia vomitoria (Kakapenpen) – cancer général, Voacanga africana (Ofuruma) – cancer en général.
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Celastraceae : Maytensus buchananii, senegalensis – contiennent des alcaloïdes dont la maytansine qui sont utiles dans le traitement du cancer du pancréas.
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Cucurbitacées : Charantia (Concombre africaine) (melon amère) – en combinaison avec une partie non précisée de Hilleria latifolia pour le cancer du sein.
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Fabaceae : Abrus precatorius (Pois rouge) – cataplasme de grains moulus et d’eau pour une application externe pour traiter l’épithélioma.
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Lamiaceae : Ocimum basilicum (basilic) – utilisés pour traiter le cancer (non précisé).
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Moraceae : Ficus asperifolia (Arbre de papier verre) – cancer du sein
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Nyctaginaceae : Boerhavia diffusa – cancer du sein
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Passifloraceae : Adenia rumicifolia .var miegei, lobata (Peteha) – utilisé en combinaison avec du poivre, maniguettes et feuilles de Musa paradisiaca (plantain) pour le cancer du nez
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Plumbaginaceae : Plumbago zeylanica (Ceylan Leadwort, Opapohwea) – combiné avec Ricinus communis (ricin commun) (plante d’huile de ricin) dans une infusion d’huile pour le cancer de l’estomac.
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Rutacées : xanthoxyloides Zanthoxylum, Z. gilletii – parties non spécifiées pour traiter quel cancer
Plantes utilisées pour traiter le cancer aux Caraïbes
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Amaryllidaceae : Hymenocallis tubiflora (Loyon Dill) – contient le lycorin alcaloïde, connu pour son action antinéoplasique, antipaludiques et ses activités antibactériennes.
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Asteraceae : Bidens pilosa (herbe à aiguilles) – utilisées en combinaison avec d’autres espèces pour le cancer.
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Bignoniaceae : Jacaranda coerulea (Cancer Bush) – dessécher les feuilles et préparer une infusion aqueuse pour le cancer de la peau.
Autres plantes utiles contre le cancer
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Romarin: Contient deux composés étonnants, l’acide carnosique et le carnosol.
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Ces substances ne sont pas seulement des remèdes naturelles puissants contre le cancer, mais ils protègent également contre les effets de l’exposition aux rayonnements. Le romarin est très bénéfique pour la santé du cerveau.
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Achillée millefeuille (Achillea millefolium) : Les racines ont été utilisés pour construire la masse musculaire et pour traiter le cancer par les Amérindiens. Elle est utile pour la cicatrisation et la radiothérapie.
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Bardane (Arctium lappa) : Désintoxicante et anti-tumorale.
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Gotu Kola (Centella Asiatica) : Plante de la mémoire et de la longévité.
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Gingembre (Zingiber officinale) : Des études chez l’animal ont démontré que le Gingembre est capable de réduire les tumeurs du foie.
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Echinacea (angustifolia Purpurea) : Stimule l’immunité, a une action antibactérienne et antitumorale.
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Le chardon-marie (Silybum marianum) : Réputé pour son utilisation contre la cirrhose et l’hépatite, des études récentes ont démontré qu’elle a une action positive sur les enzymes du cancer du sein.
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Hydraste du canada(Hydrastis canadensis) : Stimulant immunitaire tout en ayant une action antibiotique, la berbérine contenue dans la plante pourrait avoir un effet de rétrécissement sur les tumeurs.
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Le curcuma : Certains experts de la santé soulignent les bienfaits anti-inflammatoires du curcuma et ils ont tiré des conclusions fondées sur le lien entre l’inflammation et le développement du cancer.
En savoir plus sur https://actumag.info/2014/08/23/70-plantes-medicinales-luttent-contre-cancer/#gX8YrDDqmmKBUMxm.99
¤ La cure Gerson (et Kelley) :
\ Personnellement, je pense que le café devrait être remplacé par du thé vert kukicha (tiges et feuilles) [bouillir 10 minutes et consommer dans l'heure]. Le thé (surtout kukicha) a très peu de la substance nocive (théine ou caféine), contrairement au café. Sinon, pour éliminer la nocivité d’un verre de café, il faut boire quatre verres d’eau (supplémentaires à la quantité d’eau quotidienne conseillée ou judicieuse) ; ces quatre verres d’eau peuvent être divisés par deux ou trois pour du thé (NON kukicha), et supprimés pour du thé kukicha.
La cure Gerson: l’anti-cancer 100% naturel
La thérapie Gerson, l’extraordinaire puissance d’un traitement anti-cancer !
Qui est le docteur Max Gerson ?
Max Gerson est un médecin allemand né en 1881. C’est en soignant l’un de ses patients atteint de migraine qu’il constate que la cure proposée a aussi éradiqué sa tuberculose de la peau. Fort de cette découverte, le docteur Gerson poursuit ses travaux et obtient des résultats remarquables et un vif succès. Il se lie d’amitié avec le prix Nobel Albert Schweitzer, médecin spécialiste en médecine tropicale, en guérissant la femme de celui-ci atteinte de tuberculose pulmonaire, là où tous les traitements conventionnels ont échoué. Ils resteront amis pour la vie.
La thérapie Gerson s’affine et s’applique peu à peu aux maladies redoutables ou incurables, aiguës ou chroniques comme les maladies cardiaques, l’insuffisance rénale, et enfin – le cancer ! En 1958, après trente années d’expérimentation clinique, Gerson publie une thérapie contre le cancer, contestant la médecine orthodoxe avec son protocole nutritionnel, enrichie de nombreux articles et d’histoires de patients atteints de cancer (qui avaient été abandonnés à mourir après l’échec de tous les traitements conventionnels) et totalement guéris.
Il est l’auteur de nombreux ouvrages – très longs et très techniques – qui n’ont malheureusement jamais été traduits en français d’où la méconnaissance de cette thérapie en France !
Qu’est-ce que la thérapie Gerson ?
Ce régime alimentaire soigne par l’apport optimal de substances naturellement connues de l’organisme par opposition à l’utilisation de molécules à effets thérapeutiques créées par l’homme. Les fruits et légumes consommés durant la cure fournissent au corps les molécules (ortho-) chimiques adéquates, tout en éliminant les produits chimiques toxiques, nocifs ou nuisibles à l’organisme. La thérapie Gerson est à la fois une approche de la médecine orthomoléculaire et une thérapie métabolique.
Son action thérapeutique
Dès le début de ses découvertes, le Docteur Gerson comprend que les deux causes sous-jacentes des maladies dégénératives et chroniques sont les déficiences nutritionnelles et la toxicité.
Les déficiences nutritionnelles sont le résultat d’un régime alimentaire carencé, sous-vitaminé, provoqué lui-même par une alimentation moderne trop cuite, trop sucrée, trop salée, transformée, aromatisée et traitée chimiquement. Les vitamines, minéraux, matières premières et nutriments organiques contenus dans les fruits et les légumes disparaissant peu à peu de nos assiettes.
La toxicité est quant à elle amenée par une accumulation d’engrais artificiels, par l’irradiation des produits et par les substances chimiques toxiques (plomb, mercure, pesticides et résidus, nitrates, chlore, fluor, etc.) contenus par les fruits et légumes produits par l’agriculture moderne.
Les fruits et légumes sont alors dépourvus de leurs systèmes enzymatiques nécessaires à la guérison d’un corps malade.
De plus, en tenant compte de l’électricité des cellules, de l’équilibre sodium / potassium, de la fermentation du glucose par les cellules cancéreuses, de l’oxydation des enzymes, du tissu conjonctif, le docteur Gerson a défini un traitement naturel qui cible les anomalies au niveau cellulaire et qui les corrigent en normalisant le métabolisme du patient.
La cure Gerson comprend les éléments suivants :
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La détoxification de l’organisme
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L’alcalinisation de l’organisme
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La restauration du système immunitaire
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L’oxygénation du corps
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Le maintien de l’équilibre sodium / potassium / iode
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Les lavements du foie
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La supplémentation d’enzymes d’oxydation afin de créer un système qui met en conflit les cellules malignes et le système de fermentation.
Protocole
Le régime alimentaire Gerson est bio et végétarien à 100%. Il comprend:
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Une alimentation riche en oxygène, vitamines et antioxydants = 13 verres de jus frais de légumes et de fruits bio par jour : une très grande consommation de jus frais de légumes et de fruits pour l’apport en oxygène. Les antioxydants, eux, protègent les cellules contre les dommages des radicaux libres et aident l’organisme à utiliser l’oxygène plus efficacement.
Le docteur Gerson a mis en évidence que 98% des personnes atteintes de cancer et d’autres pathologies dégénératives lourdes, succombent d’un foie engorgé de poisons, toxines et déchets, et non du cancer lui-même!
Il est évident que la détoxification par le lavement au café en complément avec les jus de légumes/fruits joue un rôle primordial dans le processus d’éradication du cancer. De plus, il diminue les douleurs.
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Une alimentation hautement alcaline: par sa haute alcalinité, le régime Gerson crée un environnement hostile à la croissance des cellules cancéreuses. En quelques semaines, on observe un Ph urinaire variant de 8 à 8,5 (le ph urinaire normal étant situé entre 6,5 et 7,5). Rappel: un ph situé entre 0 et 7 est acide, et entre 7 et 14 il est alcalin.
Toute cuisson à haute température (grill, barbecue, friture, etc.) provoque la formation de composés cancérigènes tels les acrylamides ou les hydrocarbures aromatiques polycycliques.
L’avis de la naturopathe
La thérapie Gerson est très contraignante (préparation des jus de légumes et fruits chaque heure, lavements au café, compléments alimentaires difficiles à trouver, fatigue, etc.). Je vous recommande donc de la débuter la première fois dans une clinique agréée. Votre cure sera ainsi supervisée par un médecin et vous recevrez un protocole personnalisé. Vous serez accompagnée à 100% et pourrez ainsi vivre votre cure avec sérénité.
Si vous suivez cette cure à domicile, vous devez IMPÉRATIVEMENT réaliser au préalable un bilan rénal. En effet, il est conseillé d’adapter les doses de potassium afin de ne pas atteindre les doses dangereuses pour le cœur.
Par ailleurs, sachez que les tarifs pratiqués dans les instituts Gerson sont très coûteux.
Résultats et statistiques
La thérapie Gerson est à ce jour l’un des protocoles alternatifs les plus puissants.
Stade I et II 100% de réussite.
Stade III de 70 à 82% de réussite.
Stade IV 40% (en stade terminal).
Où trouver les instituts Gerson ?
L’héritage et la vision du docteur Max Gerson se poursuivent à travers le monde dans des instituts et hôpitaux agréés. Vous en trouverez en Californie (San Diego), au Mexique (Tijuana), en Hongrie (Dobogoko) ou encore au Japon à l’hôpital Loma Linda et à l’hôpital Toritsu Ohtsuka (Tokyo).
¤ La méthode Seignalet :
* http://www.seignalet.fr/fr/le-regime-seignalet/comprendre-le-regime/la-methode-seignalet.html
La méthode Seignalet
Mis au point en 1985, le regime Seignalet est d’abord un régime santé qui vise à soigner. Il est totalement équilibré et ne comporte aucun danger. Il prône une alimentation diversifiée et la plus proche possible de celle de nos ancètres cueilleurs-chasseurs. C’est pourquoi on le nomme parfois régime ancestral.
La méthode de Jean Seignalet tient aussi compte de la forme moléculaire des aliments, de leur qualité, et pas seulement de leur quantité comme dans la diététique classique.
Les aliments que nous consommons ont subi de nombreuses transformations moléculaires. Certains de ces aliments, classiquement considérés comme « sains », sont devenus totalement indigestes pour certains d’entre nous, en particulier: De nombreuses céréales (dont le blé et le maïs)- Les laitages animaux (sous toutes leurs formes) – et les cuissons excessives (en particulier des graisses et des protéines animales).
La méthode est donc « sans gluten et sans caséine » et préconise du frais, du cru, et des cuissons douces. Elle est totalement diversifiée et équilbrée. On la qualifie aussi de « hypotoxique », car elle exclut des aliments « toxiques » à long terme pour certains.
Ce qui fait le succés de cette méthode , c’est son efficacité. Les résultats de la méthode se font sentir sur les petits maux mais aussi sur de nombreuses maladies chroniques. (voir rubrique Efficacité du régime). Le délai d’action varie de 1 mois à 1 an, mais la plupart des gens ressentent des effets rapidement. Par exemple, ils digèrent mieux, se reveillent reposés, et ont un meilleur moral. Pour ceux qui ont beaucoup de toxines accumulées, une période temporaire d’aggravation des symptomes correspond à une phase d’élimination des toxines. Quand cette élimination est terminée, les bénéfices de la méthode sont ressentis.
Résultats et effets
Les patients du Dr Seignalet totalisent à eux tous plus de 115 maladies.
Parmis elles, 91 ont réagi favorablement au régime, ce qui représente un espoir pour de nombreux malades. Ces patients ont appliqué strictement la nutrition Seignalet et les effets ont été perceptibles au bout d’une durée variable. Les premiers effets du changement nutritionnel se font sentir de manière très variable, de quelques mois à 2 ans.
Voici les tableaux récapitulant, pour chaque maladies, les résultats obtenus sur plus de 2500 patients. De nombreuses autres personnes pratiquent aujourd’hui cette nutrition et vous pourrez constater, en surfant sur le web, que beaucoup de ceux qui l’ont essayée sont satisfaits.
Tableau 1 - Résultats du régime dans les maladies auto-immunes
Tableau 2 - Résultats du régime dans les maladies d’élimination
Tableau 3 - Résultats du régime dans les maladies d’encrassage
Les effets
- Le Dr Seignalet a suivi gracieusement pendant presque 20 ans, plus de 2500 patients atteints de maladies parfois dites incurables. Parmi eux, 2250 se sont trouvés améliorés par sa méthode nutritionnelle.
« Pour les maladies où j’ai pu rassembler plus de 15 sujets, la fréquence des succés thérapeutiques paraît indubitable. C’est le cas pour la polyarthrite rhumatoîde, la spondylarthrite ankylosante, le syndrome de Gougerot-Sjogren, l’hypercholesterolémie, la colopathie fonctionnelle, les infections ORL à répétition chez l’enfant et l’acné. Pour les autres maladies ou peu de personnes ont été testées, il semble a priori raisonnable d’être plus réservé et d’attendre de disposer d’un nombre plus grand de patients et d’un recul important avant de prendre une position définitive. »
- Les succés thérapeutiques, lorsqu’ils sont obtenus, sont francs. Il faut parler de rémissions et non de guérisons car l’abandon de la diététique est, en règle générale, suivie d’une rechute après quelques semaines ou quelques mois.
- Quand le régime est efficace, une période d’élimination pouvant durer de quelques semaines à quelques mois, se manisfeste par différents désagréments qui correspondent à la sortie des molecules nocives de l’organisme: maux de tête, aphtes, diarrhée, amaigrissement… Cette période désagréable est passagère et aussi encourageante puisqu’elle correspond à la première phase de la thérapie: se débarasser des molécules qui encombrent l’organisme. Il faut cependant être vigileant, pour les personnes fragiles et affaiblies, à ne pas maigrir trop rapidement. Il convient alors d’arréter un temps la diététique et de la reprendre progressivement.
- Le succés thérapeutique de la diététique permet souvent d’éliminer une grande part des médicaments. Cependant ceux -ci n’empêchent pas l’efficacité de la méthode, et ils seront éliminés progressivement, avec l’ accord du medecin traitant, en cas d’amélioration de l’état de santé.
Ces patients ainsi que de nombreuses personnes qui ont pu constater par elles-mêmes ou sur leur patients, les effets positifs de cette diététique, sont aujourd’hui, les meilleurs communicants de la nutrition Seignalet.
La classification des maladies
La classification du Dr Seignalet différencie 3 mécanismes physiopathologiques, certaines maladies complexes pouvant cumuler plusieurs de ces processus.
La méthode hypotoxique découle de ce raisonnement scientifique. Il explique, étapes après étapes, pourquoi, au niveau microscopique, une alimentation mal choisie peut nuire à un certain nombre de personnes (prédisposition génétique), en particulier ceux qui subissent une maladie chronique.
Le premier de ces mécanismes, celui sur les maladies auto immunes, prend en compte le fonctionnement des molécules HLA dont Jean Seignalet était un des grands spécialistes mondiaux. Ces molécules contribuent à la défense de l’organisme. Pour lui, les prendre en compte permet d’expliquer le dérèglement immunitaire de nombreux cas de maladies auto immunes.
La théorie de l’encrassage et la théorie de l’élimination découlent de cette première hypothèse tout en s’en différenciant: La méthode alimentaire connait aussi un grand succés dans ces pathologies, le régime alimentaire est le même pour les 3 types de maladies, et la cause est une hyperperméabilité de l’intestin grêle. Mais les acteurs de ces mécanismes diffèrent et l’enchainement des évènements conduit à des pathologies dont l’expression est de 2 types:
- les molécules nocives qui « divaguent », encombrent les cellules, gènent leur communication et peuvent même « pénétrer » dans les cellules. C’est ce qu’on appelle les maladies d’encrassage.
- L’organisme tente d’éliminer les déchets qui ont pénétré dans l’organisme, en les « expulsant » par un des émonctoires (filtres) de l’organisme. Ce sont les maladies d’élimination.
- Les maladies auto immunes
« Je considère que les maladies auto-immunes vraies, comme on les définit classiquement, sont rares et ne forment qu’une petite minorité. Je place dans ce groupe le PTI et peut-être la myasthénie. Le régime alimentaire originel est ici impuissant et le seul recours reste les médicaments.
L’immense majorité de ces maladies sont en fait xénoimmunes. Elles correspondent à une réponse immunitaire normale, suivie d’une réponse inflammatoire normale, contre des tissus certes initialement sains, mais qui hébergent un hôte indésirable constitué par un peptide antigénique venu de l’environnement. »
- Les maladies d’encrassage
» En 1991, une réflexion sur les déchets d’origine intestinale que j’incrimine dans le développement de nombreuses affections, m’a conduit à distinguer les peptides et les protéines pouvant générer un désordre auto immun, et les autres substances incapables de provoquer une réponse immunitaire et pourtant nocives quand elles se déposent dans les tissus. L’encombrement progressif du milieu extra cellulaire, des membranes plasmatiques et du milieu intra cellulaire finit par perturber le fonctionement de certaines cellules. »
- Les maladies d’élimination
« Les globules blancs, qui ont pour fonction classique de lutter contre les agresseurs du corps humain, en particulier les bactéries et les virus, ont probablement une autre mission en plus de la lutte contre les germes. Ils ont aussi vraisemblablement une fonction « d’éboueur », chargés d’épurer l’organisme des déchets indésirables »
¤ La soupe anti-cancer du Dr Béliveau (dont parle David SERVAN-SCHREIBER) :
* http://www.seignalet.fr/images/stories/pdf/tableau1.pdf
* http://www.seignalet.fr/images/stories/pdf/tableau2.pdf
* http://www.seignalet.fr/images/stories/pdf/tableau3.pdf
* http://www.masantenaturelle.com/chroniques/conseil/conseil_soupe_anticancer.php
Dans son ouvrage Anticancer, prévenir et lutter grâce à nos défenses naturelles, le Dr David Servan-Schreiber évoque longuement les travaux du Dr Béliveau
Il nous mentionne notamment que l’équipe du Dr Béliveau a évalué l’effet d’une sorte de soupe de légume chez des souris gravement malades. Les souris qui étaient nourries de la soupe anti-cancer semblaient beaucoup plus en forme que les souris recevant l’alimentation habituelle et les tumeurs qu’elles développaient mettaient plus de temps à se développer et progresaient plus lentement.
Voici la recette de cette soupe
Cuire légèrement 100 g de chacun des légumes et fruits suivants :
- Ail
- Choux de Bruxelles
- Betterave
- Airelles
- Oignon vert
- Brocolis
- Epinard
- Fèves vertes
Ajouter à la soupe obtenue :
- Pamplemousse (100g.)
- Curcuma mélangé dans l’huile de lin (2 c. à café de curcuma pour 10 ml d’huile de lin)
- 6 tasses de thé vert (2 g de feuilles de thé vert pour 6 tasses d’eau)
- Poivre noir (2 c. à café)
¤ Cure de Breuss contre le cancer :
\ La carotte est anti-inflammatoire ; un cancer sur six est d’origine inflammatoire, parmi les humains. (an 2017)
* https://www.alternativesante.fr/cancer/la-cure-anti-cancer-rudolph-breuss et http://santesos.com/les-cellules-cancereuses-meurent-en-42-jours-ce-jus-de-cet-autrichien-celebre-a-guerit-plus-de-45-000-personnes-du-cancer-et-dautres-maladies-incurables-recette/
La plupart d’entre vous a déjà entendu parler de la cure mise au point au siècle dernier, à partir d’un grimoire du Moyen Âge, par un thérapeute autrichien, Rudolf Breuss. Cette cure, présentée comme une « cure anti-cancer » a provoqué de nombreuses polémiques, et il faut bien reconnaître que, dans ce domaine, on obtient grâce à ce protocole des résultats étonnants. J’ai personnellement rencontré des personnes qui se sont guéries de leur cancer par cette méthode. Certaines sont revenues d’un stade très avancé et leur guérison a été totale et durable… Depuis que la cure Breuss a été mise au point, des milliers de témoignages de guérison ont été enregistrés dans le monde entier, sans que cela n’intéresse la faculté, semble-t-il ! Mais en se focalisant sur le cancer, on a occulté le principal : la cure Breuss est une cure de santé qui rétablit la plupart des fonctions métaboliques et permet de guérir ou d’améliorer un nombre impressionnant de maladies.
Jusqu’ici, la cure Breuss, pourtant simple, était toutefois difficile à mettre en oeuvre car elle nécessite la consommation d’une importante quantité de jus frais qui, vendus en boutique bio, finissaient par coûter très cher. Mais aujourd’hui, le succès rencontré par les défenseurs du crudivorisme et, surtout, la démocratisation des extracteurs de jus (qui se vendent maintenant aux alentours de 300 euros), rend la cure accessible à n’importe qui. Il faut ajouter que, lorsque les beaux jours arrivent, il est plus facile de se plier à la cure car on est plus enclin à boire des jus toute la journée.
Alors, pourquoi ne pas l’employer en tant que cure régénérante qui permettra de perdre du poids, de décrasser l’organisme, de l’approvisionner en minéraux et de lui donner un élan difficile à décrire, mais dont tous ceux qui ont essayé la cure disent qu’ils n’avaient jamais connu cela avant.
Quels ingrédients me faut-il et combien de temps ?
En ce qui concerne le traitement du cancer, cette cure doit durer 42 jours précisément. Mais rien n’empêche de l’adapter à votre cas personnel et d’en réduire, si vous le souhaitez, sa durée. Il est toutefois recommandé de faire la cure pendant au moins trois semaines si l’on veut obtenir un effet sensible.
Comme vous l’avez compris, cette cure repose sur la consommation exclusive de jus de légumes. Et quand je dis jus, c’est jus ! Cela signifie qu’il ne faut pas absorber la pulpe.
La quantité à absorber par jour varie entre 1/4 de litre et 1 litre.
Il faut retenir que, pendant cette période, moins on boit en dehors de la cure, mieux cela vaut. Quant aux légumes, il ne s’agit pas de n’importe quels légumes, et il faudra obligatoirement choisir des légumes bio.
Voici donc la composition précise mise au point par Rudolf Breuss.
Mélange de jus (à consommer quotidiennement)
Avec un extracteur, fabriquer à la demande un mélange de jus à partir des proportions suivantes de légumes frais :
- 300 g de betteraves rouges,
- 100 g de carottes,
- 100 g de céleri (racine),
- 30 g de radis noir,
- 1 pomme de terre avec pelure de la taille d’un œuf de poule (facultatif). La pomme de terre doit être à maturité pour être comestible, il faut éviter les excès de peau de pomme de terre, la variété Nicola est la préférable pour la santé.
Nota :
En cas de cancer du foie, la pomme de terre est nécessaire.
Voici une autre méthode : cuire une poignée de pelures de pomme de terre (bio) dans l’équivalent de deux tasses d’eau pendant 3 minutes.
Boire une tasse par jour de la décoction.
Quel est le fondement théorique de la cure Breuss ?
L’hypothèse de Rudolf Breuss (confirmée depuis par de nombreux scientifiques) est que le développement du fait cancéreux est alimenté par les protéines. La suppression de l’alimentation quotidienne en protéines provoque un choc dans l’organisme qui ne peut vivre sans cet élément. Le sang, amateur de protéines, se met alors à ronger dans le corps tout ce qui superflu, végétations, rassemblements de matières et tumeurs.
C’est une opération sans scalpel à laquelle le jus rouge procède lui-même, une fois finement dosé.
Il est à supposer que ces considérations, pour judicieuses qu’elles soient, ne sont que la partie visible de l’iceberg. Est-il besoin de tout expliquer pour pouvoir constater les résultats positifs, étonnants et souvent inespérés ? Il est, par ailleurs, important de signaler la nécessité d’un bon fonctionnement des selles et des urines car les produits d’excrétion stagnants pourraient provoquer des empoisonnements (voir le chapitre sur les tisanes complémentaires).
Ne perdez surtout jamais de vue que le cancer se nourrit des aliments solides qui sont porteurs de protéines. D’où la nécessité d’une nourriture exclusive de jus dont la lie a été filtrée.
Mode opératoire de la cure
- Pendant les 3 jours qui précèdent la cure
Il convient de commencer à consommer entre les repas le mélange de jus à raison de 1/4 de litre par jour, ceci afin d’habituer l’organisme à ce nouvel aliment.
- Durant la cure de 42 jours
S’en tenir strictement au mélange de jus que l’on consommera de préférence à la cuillère en le gardant un peu dans la bouche avant de l’avaler. Il a été démontré, par l’expérience, que 1/4 de litre par jour suffit pour vivre.
À savoir qu’il ne faut jamais dépasser un litre du mélange de jus par jour. On peut y ajouter, si l’on veut, une gorgée de jus de choucroute crue de temps en temps.
Pendant cette période, on peut maigrir de 5 à 15 kg, mais ceci n’empêche pas de se sentir bien et plein d’énergie.
Près de 20 000 personnes ont fait cette cure pendant 42 jours sans rien manger à côté. Elles ont tenu le coup et ont retrouvé la santé, sans rechute ultérieure. Eventuellement, on pourrait également boire un peu de jus de citron, mais jamais de jus de pomme ! On peut boire du jus de pomme frais seul entre-temps, mais jamais mélangé avec les autres jus.
Pendant la cure, il est recommandé de ne plus prendre aucun médicament, ni de faire aucune piqûre, ni de fumer, ce qui risquerait de nuire au grand nettoyage interne de l’organisme alors que celui-ci est en train de reprendre en main ses métabolismes vitaux d’auto-défense.
Enfin, il est indispensable de faire disparaître de la maison : naphtaline, camphre, DDT, sprays insecticides, épurateurs d’air pour WC et tous produits chimiques agressifs et douteux. En revanche, faites brûler de l’encens pour nettoyer la maison.
- Après la cure
Se réalimenter progressivement avec des aliments légers (pas de gluten et pas de lait si possible, plutôt des légumes, du quinoa, du riz…). Il est recommandé aussi de ne pas arrêter tout de suite le mélange de jus et de continuer à en consommer 1/2 litre par jour avant les repas.
42 jours sans manger, je vais mourir !
Il n’y a aucune inquiétude à avoir dans ce domaine, mais pour ceux qui ont peur de manquer, Rudolf Breuss a inventé une « demi-cure ». Cette appellation de Rudolf Breuss s’applique à ceux qui pensent ne pas pouvoir supporter le régime strict, ou bien parce que les personnes sont déjà trop affaiblies. Ceux-là pourront prendre chaque jour en plus du mélange de jus :
- Soit une tasse de crème d’avoine (flocons cuits et mixés),
- Soit une soupe de pâtes à l’oignon selon la recette suivante :
- Faire revenir un oignon avec la pelure dans de l’huile, (l’oignon à forte dose est toxique surtout pour maints animaux, et à faible dose il a ses avantages et ses inconvénients)
- Verser une tasse d’eau chaude,
- Laisser cuire 1/4 d’heure,
- Ajoutez les pâtes (peu).
La guérison est moins immédiate avec la demi-cure, mais elle peut-être plus adaptée à une cure de décrassage.
S’il ne s’agit pas de lutter contre un cancer avéré, vous pouvez aussi opter pour la cure pure et dure et en réduire la durée.
Les trois compléments à la cure
Indispensable : la tisane rénale
Un complément indispensable pendant les trois premières semaines (21 jours) est l’absorption quotidienne d’une tisane rénale.
Lorsque l’on applique tout ce qui est conseillé ici à la lettre, on perd peu de poids. La clé de voûte réside dans l’infusion rénale que l’on prend à raison de 1/2 tasse froide matin, midi et soir, ou mieux encore, si l’on prend deux cuillères à soupe toutes les heures.
Il faut :
- 6 g de prêle,
- 5 g d’ortie du mois de mai (de préférence),
- 3 g de renouée,
- 2 g de millepertuis.
Préparation de la tisane de Breuss
(pour 1 journée)
- Jeter la valeur d’une petite tasse du mélange de plantes (16 g) dans l’équivalent d’une tasse d’eau chaude et laisser infuser pendant 10 minutes.
- Récupérer le résidu d’infusion et mettre de côté le liquide infusé. Ajouter au résidu l’équivalent de 3 tasses d’eau.
- Faire bouillir 10 minutes de telle sorte qu’un tiers s’évapore. Filtrer, mélanger cette décoction à l’infusion (ceci permet d’extraire une seconde famille de principes actifs sans détruire les premiers).
Attention : il ne faut pas dépasser les 3 semaines d’utilisation de cette tisane rénale, sinon les reins risqueraient de ne plus travailler que sous l’impulsion de la tisane. En revanche, il faut poursuivre la cure centrale.
Vous aurez peut-être des difficultés à obtenir les ingrédients de la tisane. Vous pouvez commander un mélange prêt à l’emploi chez Source Claire en suivant ce lien
En option : tisane à la sauge
Un médecin romain écrivit : « Pourquoi mourir puisqu’il y a de la sauge dans le jardin ? »
Il faut toujours boire une tasse de décoction de sauge par jour, chaude ou froide, même quand on se porte bien, et à plus forte raison pendant la cure. Faire bouillir une pincée par tasse pendant exactement 3 minutes.
Et encore : tisane de géranium
Le géranium contient des oligo-éléments de radium. C’est une radiothérapie douce. Cette tisane ferme la trilogie avec la sauge et la tisane rénale.
Une pincée de feuilles par tasse infusée 10 minutes. Boire une tasse par jour.
Des tisanes spécifiques supplémentaires
- en cas de cancer du poumon : infusions de fenouil des Alpes.
- en cas de cancer de l’utérus : infusions d’alchemille.
Protocole pour la cure + les tisanes complémentaires :
Durant les 3 premières semaines de la cure :
– au lever : 1/2 tasse de tisane rénale puis toutes les heures, alterner jus de légume (entre 35 et 125 ml selon les besoins) et décoction de sauge (1 cuillère à soupe).
– à midi et au coucher : 1/2 tasse de tisane rénale.
– à 17 heures : 1 tasse de géranium.
Après 3 semaines, supprimer la tisane rénale.
La cure de jus de Rudolf Breuss est-elle réservée au cancer ?
Absolument pas, comme je vous l’ai dit – et des milliers de personnes ont suivi cette cure dans le seul but d’améliorer leur santé et d’accroître leur vitalité.
Par ailleurs, la cure de jus de légumes peut être bénéfique dans de nombreuses maladies.
La cure Breuss va ronger toute formation indésirable
ou peu structurée (kystes, tissus superflus).
C’est une excellente cure d’amaigrissement qui peut s’effectuer sans souffrir de la faim, et sans effet nocif.
Pour l’arthrite, c’est spectaculaire. La méthode a, en outre, été testée par l’Institut de thérapies physiques de Amriswil en Suisse.
Pour la leucémie, même traitement : d’après Rudolf Breuss, la leucémie est une maladie de décomposition du sang s’effectuant au niveau de la veine porte. Cette maladie prend sa source dans une dépression morale plus ou moins consciente. Le traitement est plus simple que dans le cancer. Il suffit de consommer 1/4 de litre de jus mélangé par jour, réparti en apéritif avant les 3 repas principaux. Ceci pendant 42 jours.
L’énergie revient souvent
au bout de six jours
En général, les premiers effets de la cure apparaissent au bout de six jours. Si vous ne cherchez pas à vous débarrasser du cancer, consolidez les premiers effets pendant au moins une semaine. Après, c’est une question de courage et de détermination.
Attention : Les conseils prodigués dans cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des médecines alternatives. Vous pourrez en trouver un près de chez vous et prendre rendez-vous sur annuaire-therapeutes.com
¤ 15 anti-inflammatoires naturels :
Cassis, pin, basilic, laurier, propolis, omégas 3… Et si vous remplaciez votre aspirine ou votre cortisone par un remède naturel ? Certains ont de puissants effets anti-inflammatoires sans avoir les effets secondaires des médicaments classiques. Ils peuvent soigner les affections respiratoires, urinaires, digestives et articulaires. La liste.
Les aiguilles de pin
Les jeunes aiguilles du pin sylvestre (Pinus sylvestris) sont récoltées pour leurs vertus thérapeutiques. Comme le fait remarquer le naturopathe Christopher Vasey, elles sont parfois vendues sous l’appellation incorrecte de « bourgeons de sapin ». Le pin sylvestre entraîne la sécrétion d’hormones anti-inflammatoires, comme la cortisone. « La cortisone produite par le corps à la suite de la prise de plantes est présente en quantité physiologique. Elle a des effets bienfaisants sans effets secondaires » souligne le naturopathe.
Indications : Voies respiratoires (rhinopharyngite, sinusite, bronchite, asthme…), rhumatismes, voies urinaires (cystite, prostatite…).
Posologie : Infusion : 20 à 50g de bourgeons à infuser pendant 10 minutes dans 1 litre d’eau, 3 tasses par jour.
Ou
Teinture-mère : 3 fois par jour, 10 à 20 gouttes avec un peu d’eau.
Contre-indications : hypertension, nervosité, faiblesse rénale.
L’huile essentielle de laurier
Dans la Grèce Antique, le laurier était consacré au dieu Apollon et symbolisait la gloire. C’est aujourd’hui une plante reconnue pour ses bienfaits anti-inflammatoires, antalgiques, anti-infectieux, et anti spasmodiques.
Indications : Voies respiratoires (rhume, pharyngite, bronchite, asthme…), voies digestives (diarrhées, colite, gastro-entérite…), peau (acné, furoncle, eczéma, crevasse, ulcère, urticaire…), bouche (gingivite, aphte, douleurs dentaires, parodontites, abcès…), articulations et muscles (arthrite, goutte, lumbago…) et nerfs (sciatique, névrite…).
Posologie : Le plus simple est d’utiliser l’huile essentielle de laurier (Laurus nobilis).
Voie orale : 2 à 3 fois par jour, 1 à 2 gouttes d’HE dans du miel ou de l’huile végétale.
Peau (HE pure) : 3 à 4 fois par jour, 1 goutte sur le bouton, l’aphte ou l’abcès.
Ou
Peau (HE diluée) : 10 gouttes d’HE diluées dans une cuillère à café d’huile de tournesol, à étaler 3 à 4 fois par jour sur la région à traiter et masser.
Ou
Gargarisme : 2 à 3 gouttes d’HE diluées dans un peu de lait à rajouter à un demi verre d’eau. Gargariser, recracher, 3 à 4 fois par jour.
Ou
Bain : 15 à 20 gouttes d’HE dans une cuillère à soupe de lait.
Par précaution : Avant d’employer l’HE de laurier, faites un test de quelques gouttes sur le pli du coude. Attendre 2 à 3 heures pour voir si des rougeurs apparaissent. Si c’est le cas, ne pas utiliser l’huile. Si non, c’est bon !
Attention : Ne pas confondre le laurier noble avec le laurier-rose ou laurier-cerise que l’on voit souvent dans les jardins et dont l’utilisation médicinale est interdite.
Les feuilles de basilic
On peut utiliser les sommités fleuries et les feuilles de basilic comme remède anti-inflammatoire. Elles possèdent en effet des substances qui bloquent ou freinent l’activité des médiateurs de l’inflammation.
Indications : Tube digestif (gastrite, brûlures, aigreurs, entérite, colite…), nerfs (névrite…), voies urinaires (cystite, prostatite), articulations (arthrite, polyarthrite,tendinite).
Posologie : Infusion : 3 à 4 feuilles fraîches infusées pendant 10 minutes dans 1 tasse d’eau chaude.
A savoir : Les feuilles de basilic perdent leurs propriétés curatives en séchant.
Les graines de nigelle
Cette plante est cultivée en Orient et en Europe centrale pour ses graines antihistaminiques. On peut la trouver dans les magasins diététiques et bio.
Indications : Voies respiratoires (rhume des foins, allergies aux poussières, asthme allergique) et vaisseaux sanguins (céphalée, migraine).
Posologie : teinture-mère : 3 fois 10 à 30 gouttes par jour dans de l’eau.
Les feuilles de cassis
Le cassis est une plante anti-inflammatoire dite « hormonale » puisqu’elle stimule le corps à produire des hormones aux effets anti-inflammatoires. Ces hormones appartiennent à la famille de la cortisone. On connaît l’usage des feuilles de cassis depuis des siècles pour soulager les rhumatismes.
Indications : Voies respiratoires (rhume des foins,allergie à la poussière, asthme allergique), articulations, voies urinaires (cystite, prostatite), inflammations en général (urticaire, hemorroides…).
Posologie : Macérat glycériné ou teinture-mère : 3 fois 30 à 50 gouttes avec de l’eau avant les repas.
Ou
Infusion (pour les rhumatismes et les voies urinaires surtout) : infuser 10g de feuilles sèches dans 2,5 dl d’eau bouillante pendant 15 min. Boire 2 à 3 tasses par jour.
L’huile essentielle de lavande
Parmi ses nombreux bienfaits, la lavande est une plante anti-inflammatoire. Comme on la trouve à portée de main, profitons-en !
Indications : Peau (acné, brûlure, coup de soleil, crevasse, morsure, piqure d’insecte, prurit, rougeur, urticaire, panaris…), voies respiratoires (bronchite, asthme, quintes de toux, pharyngite…), voies digestives (diarrhées), divers (douleurs musculaires, articulaires, des dents, otite, cystite…)
Posologie : La lavande est avant-tout utilisée en huile essentielle (Lavandula Angustifolia).
Voie orale : 3 fois ou plus par jour, 3 à 5 gouttes diluées dans du miel ou de l’huile végétale.
Ou
Onction pur : 3 fois par jour, 1 à 15 gouttes selon l’étendue de la surface à traiter. Etendre les gouttes sur la région et masser légèrement pour les faire pénétrer dans les tissus.
Ou
Bain : 15 à 20 gouttes dans une cuillère à soupe de lait ou de base pour bain.
Les fleurs de camomille romaine
Les premiers usages de la camomille romaine remonteraient au XVIe siècle. On l’utilisait beaucoup contre les inflammations digestives.
Indications : Tube digestif (gastrite, ulcèresd’estomac…), peau (eczéma, furoncle, plaies, démangeaisons, crevasses, urticaires…), nerfs (névralgies faciales, dentition douloureuse des enfants, névrites…), yeux (conjonctivite, blépharite…).
Posologie :
Interne : Infusion : 5 à 10 têtes par tasse, infuser pendant 10 minutes dans de l’eau bouillante, 3 à 5 tasses par jour.
Ou
Teinture-mère : 3 fois par jour, 30 gouttes avec un peu d’eau.
Ou
HE : 2 à 4 gouttes dans du miel ou de l’huile végétale, 3 à 4 fois par jour.
Externe :
– pour les inflammations de la peau et des yeux : infuser de la camomille à raison d’une cuillère à soupe pour 1 tasse. Laisser infuser 10 minutes puis appliquer quand l’infusion est tiède.
– pour les inflammations des nerfs : HE 3 à 4 gouttes d’HE diluées dans une demi cuillère à café d’huile de tournesol, en onction sur la région à traiter, 3 à 4 fois par jour.
L’eucalyptus citronné
Originaire d’Australie, l’eucalyptus a été introduit dans le sud de la France dès 1860. C’est la citronnella contenue dans les feuilles de ses branches âgées qui lui confère ses vertus anti-inflammatoires et antalgiques.
Indications : Articulations (polyarthrite, arthrose, goutte…), nerf (sciatique, zona…), tendons (tendinite, épicondylite…), muscles (élongations, déchirures), vaisseaux sanguins (phlébite, artérite, hémorroïdes…), peau (eczéma, mycoses, panaris, piqures d’insectes)
Posologie : Voie orale : 3 à 5 fois par jour, 3 à 5 gouttes dans du miel ou de l’huile végétale.
Ou
Voie cutanée : Onction d’un mélange de 10 gouttes d’HE pour 1 cuillère à café d’huile de tournesol. Répéter 3 à 4 fois par jour l’onction sur la zone à traiter. Maximum 21 jours.
Ou
Bain : 15 à 20 gouttes dans une cuillère à soupe de lait ou une base pour bain.
Le curcuma
La racine de curcuma est utilisée pour ses bienfaits anti-inflammatoires. Des recherches ont même démontré qu’elle pouvait être aussi efficace que des médicaments contre l’arthrite.
Indications : Tube digestif (gastrite, intestins irritable, colite…), articulations (rhumatisme, arthrite, arthrose), peau (eczéma, rougeurs, panaris…).
Posologie : Infusion : 1 à 1,5g de poudre par tasse, infuser 10 minutes, 1 à 3 tasses par jour.
Ou
Teinture-mère : 2 à 3 fois par jour, 5 à 20 gouttes avec de l’eau.
Ou
Gélules : 3 fois par jour, 1 à 2 gélules.
Externe : compresse d’infusion ou cataplasme de poudre, 3 à 4 fois par jour.
La décoction de saule blanc
Le saule blanc était déjà utilisé 5000 ans avant J-C. en Mésopotamie pour soigner diverses douleurs. Riche en salicine, c’est une des plantes qui a contribué à la découverte de l’aspirine (acide acétylsalicilique).
Indications : Articulations (rhumatisme, arthrite, goutte, douleurs dorsales), nerfs (névralgies, névralgie faciale), muscles (lumbago).
Posologie : Décoction : faire bouillir 25 à 30g d’écorce dans 1 litre d’eau pendant 5 minutes, puis laisser infuser 10 minutes. 2 à 3 tasses par jour.
Ou
Gélules : 3 fois 2 gélules, avant les repas.
La reine-des-prés, l’aspirine végétale !
La reine-des-prés (Spiroea almaria) est un des plus vieux anti-inflammatoires du monde puisque son principe actif est celui qui a servi à l’élaboration de l’aspirine : l’acide salicylique. Au Moyen-Age, on l’utilisait contre les inflammations de la peau lors de fièvres éruptives, comme la variole et la rougeole.
Indications : Articulations (douleurs, ankylose, gonflement, arthrite, goutte…), nerfs (névralgie, névrite…), tendons (tendinite, tennis-elbow…), mal de tête.
Posologie : Infusion : infuser 1 cuillère à dessert de feuilles et de fleurs sèches dans 3 dl d’eau pendant 10 minutes. Boire 3 tasses par jour. Ne pas faire bouillir la plante sinon elle perd ses vertus.
Ou
Gélules : 3 fois 2 gélules, avant les repas.
Contre-indications : Allergie à l’aspirine, prise de fluidifiants sanguins.
Les omégas 3
Les omégas 3 sont des anti-inflammatoires naturels. Ils sont particulièrement recommandés lors d’inflammations chroniques (articulations…). Le hic c’est que notre corps n’en fabrique pas. Il faut donc les trouver dans l’alimentation pour avoir des apports suffisants.
Les premières sources d’omégas 3 sont : les huiles de première pression à froid (lin, colza, noix, germe de blé, soja, chanvre, caméline), les algues océaniques ou de lac comme la spiruline.
Menu d’un régime anti-inflammatoire :
Protéines : légumineuses.
Glucides : riz complet ou semi-complet, pâtes complètes, pommes de terre.
Lipides : huile de colza et de lin, amandes, noix, graines de lin.
Légumes : tous à volonté surtout ceux à feuilles vertes.
Fruits : tous à volonté.
Des compresses d’euphraise
On ne la connaît pas toujours, pourtant l’euphraise est une plante classiquement utilisée avec le bleuet pour soigner les inflammations des yeux.
Indications : yeux (conjonctivite, blépharite, orgelet…), nez (rhume infectieux et rhume des foins avec fort écoulement liquide).
Posologie : Usage externe surtout.
Yeux : Infusion : faire bouillir 1 poignée de plante sèche dans 1 litre d’eau pendant 10 minutes puis laisser infuser 10 minutes. Imbiber de la ouate et la poser sur les paupières. Répéter plusieurs fois par jour.
Rhume des foins : laver les fosses nasales avec la décoction, recommencer plusieurs fois.
Les bourgeons de bouleau
Les bourgeons du bouleau sont antihistaminiques. Ils diminuent le taux d’histamines présents dans le sang, d’où l’effet anti-inflammatoire. Les histamines sont des médiateurs des inflammations, particulièrement lors d’allergies.
Indications : Voies respiratoires (rhume des foins, allergies aux poussières et poils d’animaux, asthme allergique), articulations (rhumatismes, goutte…).
Posologie : Macérat glycériné de Betula pubescens Bourgeons 1D : 3 fois par jour 30 gouttes avec de l’eau.
Source: Les anti-inflammatoires naturels, Christopher Vasey, Jouvence Santé, 2013.
¤ L’origine secrète de la chimiothérapie :
* L’article suivant est un copié-collé dont la Source est https://www.santenatureinnovation.com/lorigine-secrete-de-la-chimiotherapie/
Le récit qui va suivre sur l’origine de la chimiothérapie n’est pas secret en soi. Vous pouvez le trouver dans tous les manuels d’histoire de la médecine. Seulement, peu de patients en ont entendu parler. En ce sens, c’est un secret jalousement gardé dans les milieux médicaux. Pourtant, il est indispensable de connaître cette histoire pour comprendre comment fonctionne la chimiothérapie contre le cancer. Tout patient devrait avoir le droit de l’entendre avant de commencer son traitement.
Le début de l’histoire de la chimiothérapie remonte à l’automne 1917. Nous sommes dans les mois les plus sinistres de la Première Guerre mondiale, qui a déjà fait des millions de morts pour rien. La scène se déroule dans la ville d’Ypres, dans la campagne flamande autrefois riante, aujourd’hui ravagée par la guerre de tranchées. Les tirs d’artillerie ont enfin cessé. Plus de 5000 soldats alliés (essentiellement des Français, des Belges et des Canadiens) se reposent. Soudain, ils voient arriver sur eux des nappes de gaz verdâtre portées par le vent. Elles ont été lâchées par des machines inconnues manipulées par les Allemands, à quelques centaines de mètres de là. Personne ne se doute qu’il s’agit d’une nouvelle arme de destruction massive : le « gaz moutarde », la première arme chimique. Quelques instants plus tard, ce n’est plus qu’un concert de hurlements, le spectacle abominable de milliers de corps brûlés vivants se tortillant sur le sol.
Le gaz moutarde, au contact de la peau, forme d’énormes cloques. Les muqueuses sont attaquées, les yeux, lèvres et poumons brûlés. Toutefois, les hommes ne meurent qu’au bout de quelques jours d’infections généralisées et d’hémorragies. Ainsi que l’observeront les médecins, le gaz moutarde a l’effet épouvantable de détruire la moelle osseuse, supprimant les défenses immunitaires des victimes et stoppant le renouvellement des cellules sanguines. Cette histoire me touche de près car mon arrière-grand-père était présent à la bataille d’Ypres. Par chance, il était monté au clocher de l’église pour observer le champ de bataille lorsque le gaz moutarde fut largué par les Allemands. Le gaz étant resté au raz du sol, il fut épargné.
Interdites par la Convention de Genève de 1925, les armes chimiques continueront néanmoins à être produites et utilisées. En 1943, les Allemands coulent un navire américain au large des côtes italiennes, près de Bari. Les cales de ce bateau sont bourrées de gaz moutarde qui se répand. Le médecin-colonel Steward Alexander, examinant les matelots tués par la catastrophe, confirmera que l’effet mortel du gaz moutarde vient de l’effondrement du nombre de globules blancs dans leur sang après quelques jours.
Il n’en fallait pas plus pour donner une étrange idée à deux jeunes scientifiques, Alfred Gilman et Louis Goodman de l’université de Yale, aux Etats-Unis, qui contribuaient au programme secret de recherche américain sur les armes chimiques (Chemical Warfare Service). Puisque le gaz moutarde détruit les globules blancs, ne pourrait-il pas servir à traiter les enfants souffrant du cancer du sang, ou leucémie, qui se caractérise par une prolifération incontrôlée des globules blancs dans le sang ?
C’est ainsi que naquit la première chimiothérapie. Nous allons raconter l’histoire mais il faut d’abord faire un rappel sur la leucémie.
° La leucémie, maladie du sang blanc
La leucémie lymphoblastique aigüe est un cancer du sang qui touche surtout les enfants vers l’âge de 4 et 5 ans. Elle est provoquée par une maladie de la moelle osseuse. On a du mal à imaginer qu’il puisse se passer quoi que ce soit d’intéressant dans notre moelle. Elle paraît isolée du reste du corps par le mur épais, dur et apparemment impénétrable des os qui l’entourent. En réalité, nos os sont poreux, et notre moelle joue un rôle indispensable : elle fabrique les cellules de notre sang. Nos os laissent passer les cellules de sang fabriquées dans la moelle, qui rejoignent le flux sanguin et le régénèrent.
Il existe trois principaux types de cellules sanguines fabriquées par la moelle osseuse :
- Les globules rouges, très connus car ce sont eux qui donnent au sang sa couleur écarlate ; ils servent à transporter l’oxygène de nos poumons vers les cellules.
- Les plaquettes, qui servent à faire coaguler le sang.
- Les globules blancs, qui sont les soldats qui protègent notre organisme. Les globules blancs sont aussi nommés leucocytes (en grec ancien leucos veut dire blanc et cyte veut dire cellule).
Malheureusement, il arrive parfois que les cellules de la moelle osseuse deviennent folles et se mettent à proliférer : c’est le cancer du sang, ou leucémie. La moelle osseuse se met à fabriquer tant de globules blancs que le sang lui-même devient blanchâtre. Les médecins du XIXe siècle qui ont observé cela pour la première fois ont donc appelé cette maladie la leucémie, qui veut dire « sang blanc » en grec, de leucos, blanc, et hemos, le sang.
° La leucémie, une maladie mortelle à 99,93 %
Si les globules blancs se multiplient en cas de leucémie, il n’en va pas de même des autres cellules sanguines. Le nombre de globules rouges baisse, entraînant une anémie qui se manifeste par un teint pâle et une grande fatigue. Le nombre de plaquettes baisse aussi, provoquant des risques d’hémorragie puisque le sang ne parvient plus à coaguler normalement. Au moins, pensera-t-on, le grand nombre de globules blancs assure-t-il une protection maximale contre les infections. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Au contraire, ces globules blancs si nombreux sont immatures et ne font même plus leur travail d’immunité. Le patient risque alors les infections et en particulier la septicémie, une infection généralisée mortelle.
La leucémie fut partiellement vaincue, on va le voir, en 1971, grâce à un traitement de chimiothérapie permettant de guérir 50 % des cas. Mais jusque là, c’était une maladie terrible et mortelle à 99,93 %. Les médecins de l’après-guerre n’avaient aucun traitement. Ils ne pratiquaient même pas la transfusion sanguine (remettre au malade un sang sain venant d’une autre personne) car cela ne faisait que prolonger inutilement les souffrances des malades. Le défi médical du traitement de la leucémie est que les cellules qui se mettent à proliférer dans la moelle osseuse ne présentent qu’une différence infime avec les cellules saines. Leur capacité à se multiplier trop vite ne vient que d’une minuscule mutation du code se trouvant sur le ruban d’ADN caché à l’intérieur de leur noyau. Ainsi, si l’on cherche à détruire les cellules cancéreuses avec un produit, les cellules saines mourront aussi. Le problème fut résumé ainsi en 1945 par un grand chercheur sur le cancer, le Pr W. H. Wolgom : « Les personnes qui n’ont pas de formation en chimie ou en médecine peuvent ne pas réaliser combien le problème est réellement difficile. Il est presque, pas tout-à-fait mais presque, aussi dur de trouver un produit qui dissoudrait l’oreille droite mais pas l’oreille gauche. »
° Le gaz moutarde testé sur un patient cancéreux
Malgré cette difficulté apparemment insurmontable, nos deux chercheurs du Service de la guerre chimique décidèrent de tester les effets du gaz moutarde sur des souris souffrant de lymphome, un cancer des ganglions lymphoïdes qui produit lui aussi une prolifération de globules blancs (lymphocytes). Et de fait, « après seulement deux administrations du composé, la tumeur commença à s’amollir et régresser jusqu’au point de ne plus être palpable ». Le résultat était suffisamment encourageant, selon les deux chercheurs, pour justifier des essais sur l’être humain. Nous sommes en effet en plein dans l’époque où la recherche médicale est entrée dans l’ère moderne. Les nouveaux chercheurs estiment qu’il est devenu éthique de faire courir des risques aux malades à partir du moment où cela permet d’améliorer leur connaissance de la maladie et qu’existe l’espoir de déboucher sur des traitements pour les patients suivants, même si cet espoir est faible.
Ceci est en contradiction avec la vision classique du médecin qui s’engageait, en prêtant le serment d’Hippocrate à « d’abord ne pas nuire » à son patient (« primum non nocere »). Mais ce serment était-il respecté dans les faits par une profession qui pratiquait à grande échelle les saignées, les purgations, les prétendus « traitements » au mercure, à l’arsenic et à l’antimoine (des poisons violents), sans la moindre preuve scientifique d’efficacité ? Toujours est-il qu’Alfred Gilman et Louis Goodman décidèrent d’essayer leur idée sur un patient. C’était un homme, J.D., de 48 ans, souffrant d’un lymphome. Il reçut des injections de gaz moutarde en intraveineuse. Il réagit au début comme les souris : ses tumeurs disparurent en dix jours. Un mois plus tard, elles avaient réapparu, et il fut traité à nouveau au gaz moutarde. En fait, comme on pouvait s’y attendre, l’arme chimique avait détruit sa moelle osseuse en même temps qu’elle avait détruit le lymphome, et comme les malheureux soldats, J. D. mourut. Selon les médecins, le traitement n’avait pas ralenti sa maladie. Au contraire, « sa mort fut hâtée par les effets indésirables du médicament sur sa moelle osseuse », autrement dit ses globules rouges et ses plaquettes avaient aussi été détruits. Le patient suivant eut encore moins de chance : le traitement n’eut aucun effet sur sa tumeur. Par contre, il détruisit totalement sa moelle osseuse, causant sa mort. Le gaz moutarde fut déclaré « bien trop toxique », même pour le traitement du cancer.
Mais l’expérience des souris et du premier malade qui avaient semblé connaître une rémission avant de mourir, puisque leur cancer avait effectivement régressé, avait frappé les esprits. Des chimistes commencèrent donc à « travailler » sur le gaz moutarde pour le modifier et créer des molécules légèrement différentes dont l’une, espérait-on, aurait le même effet sur les tumeurs tout en étant moins destructrice pour la moelle osseuse.
° Le Service de la guerre chimique de l’armée américaine reconverti en centre de recherche en chimiothérapie
Ces recherches eurent lieu au Service de la guerre chimique de l’armée américaine, sous la direction du Dr Cornelius Rhoads. Ce service fut fermé en 1945 mais les installations et tout le personnel furent reconvertis en centre de traitement du cancer. Deux philanthropes américains, Alfred Sloan et Charles Kettering, firent une donation en 1948 pour poursuivre les travaux et c’est ainsi que naquit l’Institut Sloan-Kettering, qui fait toujours référence aujourd’hui dans le traitement du cancer. À force d’essais, ils découvrirent en effet des substances dérivées du gaz moutarde qui étaient moins toxiques et pouvaient être utilisées pour réduire les tumeurs en limitant les effets indésirables pour le patient. C’est ainsi qu’apparut le premier groupe de médicaments de chimiothérapie, incluant le thiotépa (1950), le chlorambucil (1953), le melphalan (1953) et la cyclophosphamide (1957), encore utilisés aujourd’hui.
Le melphalan, combiné avec des corticoïdes, est utilisé dans le traitement du myélome, une autre forme de cancer de la moelle osseuse. Le melphalan ne diffère du gaz moutarde que parce que les chimistes ont remplacé un atome de soufre par un groupement azoté.
Mais il allait s’avérer que le traitement de la leucémie ne réussirait pas avec une seule catégorie de médicaments. C’est l’administration d’une combinaison de produits qui allait permettre de vaincre la maladie.
° Découverte du méthotrexate
Peu après la découverte des effets du gaz moutarde sur la leucémie, un chercheur de Harvard, Sydney Farber, s’aperçut que ses jeunes patients leucémiques mouraient plus vite lorsqu’il leur donnait de l’acide folique (vitamine B9). Au lieu d’abandonner immédiatement le traitement, il eut l’idée suivante, qui paraît évidente aujourd’hui, mais qui était absolument géniale : puisque l’acide folique accélère le décès, alors une substance qui bloquerait l’action de l’acide folique pourrait peut-être guérir les malades ? En collaboration avec Harriett Kilte et les chimistes des Laboratoires Lederle, Farber mit au point l’aminopterine, puis l’amethopterine (méthotrexate), une substance « anti-folate » qui, en effet, se révéla efficace pour bloquer la prolifération des cellules cancéreuses.
En effet, les cellules ont besoin d’acide folique pour se reproduire. En donnant de l’acide folique à ses patients, Farber avait sans le savoir « nourri » les cellules cancéreuses en leur permettant de se multiplier encore plus vite. D’autres médicaments antileucémiques furent encore découverts pendant cette période : le 6-mercaptopurine (6-mp) et un alkaloïde, extrait de plante tropicale, la vincristine. Toutefois, ces produits seuls continuaient à causer plus de tort que de bien aux malades. En 1967, après 20 ans d’essai, une enquête sur 1000 enfants traités pendant la période révéla que seuls deux d’entre eux pouvaient être considérés avoir été « guéris », c’est-à-dire avoir survécu plus de 5 ans. La lutte contre la leucémie semblait donc désespérée.
° Le traitement de la leucémie
C’est à un ancien du Service de la guerre chimique, le Dr Howard Skippper du Sloan-Kettering Institute, que nous devons le protocole de traitement qui permit de faire passer le taux de survie à 5 ans des enfants leucémiques de 0,07 % en 1945 à 71 % aujourd’hui. Influencé par la culture militaire, il comprit que la leucémie ne pourrait être vaincue que par une éradication totale de l’ennemi : les cellules cancéreuses dans la moelle osseuse. Il fallait être prêt, aussi bien en pratique que psychologiquement, à pratiquer sur les patients une guerre totale, en recourant aussi bien aux armes chimiques (chimiothérapie) qu’à l’arme nucléaire (radiothérapie), en ne s’imposant qu’une seule limite : que le traitement s’arrête juste avant de tuer le malade. Il fallait pour cela accepter de fermer les yeux sur tous les enfants qui allaient être sacrifiés pour que cette limite soit trouvée, et aussi accepter de faire endurer aux patients des douleurs indescriptibles : car chaque étape du traitement allait être suivie de nausées et de vomissements d’une telle gravité que la plupart des enfants souffriraient de malnutrition et verraient leur croissance interrompue. Par ailleurs, comme expliqué plus haut, leurs cellules saines seraient empoisonnées comme leurs cellules cancéreuses, ce qui leur ferait tomber les cheveux, remplirait leur bouche d’ulcères, et leur provoquerait une diarrhée et une cystite (inflammation du canal urinaire) chroniques. Pendant toute cette affreuse période de recherche du traitement, les effets indésirables dépassèrent en gravité ceux de la maladie elle-même, et ce furent plus souvent les médicaments qui tuèrent les malades que le cancer lui-même.
Et pourtant, la solution finit par être trouvée par le Dr Skipper. Son innovation fut de comprendre que l’erreur de ses prédécesseurs avait été de cesser le traitement trop tôt.
La pratique, jusqu’à lui, avait été d’induire une rémission chez le malade, puis de réduire les doses pour limiter la toxicité du traitement. Le Dr Skipper, au contraire, décida d’accroître les doses une fois la rémission obtenue.
En effet, imagina-t-il avec raison, les cellules cancéreuses qui auront survécu à la première attaque sont forcément les plus résistantes et les plus malignes. Ce sont celles-là qu’il faut aller débusquer et annihiler avant qu’elles ne se multiplient et ne contre-attaquent en force.
On avait en effet observé que, lors des récidives du cancer, les médicaments étaient beaucoup moins efficaces, comme si les cellules cancéreuses avaient développé une résistance à la chimiothérapie.
Des médecins se mirent à appliquer ce principe : commencer par induire une rémission grâce à des médicaments relativement peu toxiques, la vincristine et la prednisone (dérivée de cortisone). À ce moment-là, une fois l’ennemi affaibli, lancer les armes de destruction massive méthotrexate et 6-mp, et continuer le traitement pendant deux à trois ans dans l’espoir d’éliminer la dernière cellule cancéreuse survivante.
Ce traitement permit un progrès modeste mais les médecins s’aperçurent que des cellules cancéreuses se réfugiaient dans le cerveau. Protégées par la barrière hémato-encéphalique, elles se trouvaient comme dans un bunker antichimiothérapie.
C’est ce qui donna l’idée à un autre médecin, le Dr Pinkel, de sortir l’arme nucléaire : il décida d’infliger en complément du traitement des rayons radioactifs dans le cerveau des enfants leucémiques. Ce fut un échec. Il réagit sur le patient suivant en doublant la dose de rayons.
Cette fois, le taux de rechutes fut divisé par vingt !!!
Un pas de géant avait été accompli dans le traitement de la leucémie. Les souffrances endurées par les patients sacrifiés se révélaient utiles. Le taux de survie à 5 ans passa à 50 % en 1971 puis, par d’autres améliorations du traitement, monta à 71 % en 1995 chez les enfants.
Globalement, aujourd’hui, en incluant les adultes, 50 % des patients leucémiques survivent au delà de 5 ans après leur diagnostic.
° Une histoire terrible, mais qui se finit bien
C’est donc une histoire terrible, mais qui se finit plutôt bien. Je dis « plutôt », car le problème de la leucémie est loin d’être derrière nous. Le traitement actuel continue à entraîner des séquelles (baisse du QI, lié aux traitements dans le cerveau), et surtout une forte augmentation du risque de leucémie à l’âge adulte, qui est un effet secondaire du traitement. C’est pourquoi les recherches continuent ardemment. On aimerait trouver un traitement moins toxique, moins agressif.
Le grand progrès dans le traitement de la leucémie est la greffe de moelle osseuse saine, que l’on implante dans les os du patient après avoir détruit entièrement la moelle malade. Ce traitement a encore progressé grâce à l’autogreffe, c’est-à-dire la culture de cellules saines du patient lui-même, qui permet de surmonter les problèmes d’incompatibilité immunitaire. Mais concernant la chimiothérapie elle-même, les progrès spectaculaires réalisés dans les années 60 n’ont pas été ré-édités. On traite toujours, grosso modo, la leucémie de la même façon. Le Dr Nicole Délépine, célèbre pour son service de traitement de la leucémie à l’hôpital de Garches, considère même que les nouveaux traitements que les labos cherchent à tester contre la leucémie ne méritent même pas d’être essayés. Pour elle le bon vieux méthotrexate reste le seul produit ayant fait ses preuves dans le domaine.
C’est au fond la différence entre la génération de nos parents, qui a connu les progrès de la médecine après Guerre, et la nôtre. Leur optimisme, leur confiance illimitée venait de la moisson de découvertes qui avaient lieu à l’époque. Et il est vrai que les progrès spectaculaires, comme celui du traitement de la leucémie, pouvait laisser espérer que le mouvement allait continuer de plus belle.
Dans la lutte contre le cancer, les progrès sont lents, très lents. Mais nous pouvons néanmoins nous estimer très heureux de disposer désormais de ce traitement contre la leucémie des enfants. Vraiment, c’est une bonne chose.
Maintenant, on comprendra aussi la volonté de personnes, de plus en plus nombreuses, de s’impliquer pour comprendre les causes (environnementales par exemple) des cancers, et découvrir les moyens de prévention les plus efficaces, en l’absence de traitements vraiment satisfaisants.
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
Article mis à jour le 14 avril 2016.